Préambule de Didier Van Cauwelaert (extrait) :
« Karine a vingt et un ans quand elle est tuée dans un accident de voiture. Ses parents, qui pensent que tout s'arrête après la mort physique, sont brisés par le drame. Jusqu’au jour où ils commencent à recevoir des messages…
Le magnétophone, l’ordinateur, l’écriture automatique, Karine Dray utilise tous les moyens à sa portée pour continuer à faire entendre sa voix, avec l’énergie, le rire et les impatiences qui émanaient d’elle sur terre. Dans quel but ?
Cette histoire ne prétend rien prouver, mais qu’on soit ou non sceptique comme je l’étais, elle invite à s’interroger de manière très troublante sur la survie de l’esprit. »
De même que ceux qui ont préféré s'effacer pour laisser toute la place aux messages qui leur ont été confiés (Gitta Mallasz lorsqu'elle a publié ses "Dialogues avec l'ange", Mme Monnier qui nous a transmis les lettres de son fils, les parents d'Arnaud Gourvennec, etc.), Maryvonne et Yvon Dray ne figurent pas sur la couverture du livre qu'ils publient. Il n'y a que ce titre, sobre : "Karine après la vie", derrière lequel on devine tout leur amour.
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Contributions de Karine Dray sur le thème de :
La vie, le quotidien, la souffrance, le désespoir
La voie, l'éveil, la méditation, le but de la vie
L'amour, la relation amoureuse, les enfants
La mort, l'au-delà, les contacts, le suicide...