« La peur est la racine de presque tous les maux de l'humanité : peur de soi, peur de ce que les autres pensent de vous, de l'image qu'ils ont de vous, etc.
(...) Nous devons avoir conscience de la Divinité en nousExtrait de la page : "Se reprendre" :
Chaque être est relié à son Soi intérieur, lequel est relié à Dieu.
Notre double
notre être profond
Les Textes s'accordent sur un point essentiel : au plus profond de nous, sommeille notre être éternel ; celui qui est venu s'incarner sur Terre, le temps d'une vie ; qui nous souffle parfois des conseils. Cette part merveilleuse de nous-mêmes nous lie aux autres hommes et à Dieu, de la même façon que dans le sol toutes les racines de toutes les plantes se joignent en la terre-mère. « (...) Cet être divin, cet ami sublime, est en chacun de nous. car Dieu réside dans l'intérieur de tout homme, mais peu savent le trouver. Or, voici le chemin du salut. Une fois que tu auras aperçu l'être parfait qui est au-dessus du monde et en toi-même, tu abandonneras l'ennemi qui prend la forme du désir. Les jouissances que procurent les sens sont les matrices des peines à venir. »
« Entraîne ton mental à devenir conscient de la divinité qui l'habite, et surtout, ne te diminue pas, mais plutôt, ne rate pas une occasion de glorifier cette divinité présente au fond de toi. Car ton corps est le Temple du Dieu vivant. Prends-en soin, et tu l'apprécieras mieux à sa juste valeur. Et ainsi, tu prendras conscience qu'il est le lieu où tu rejoins Sa présence. »
« Toutes les actions humaines sont motivées à leur niveau le plus profond, par l’une des deux émotions :
la peur ou l’amour.
Dans le langage de l’âme il n’y a que ces deux émotions. Ce sont les opposés extrêmes. Chaque pensée humaine et chaque action humaine est fondée soit sur l’amour soit sur la peur. Toutes les autres idées sont dérivées de ces deux là. Voilà pourquoi les humains aiment, détruisent, puis aiment à nouveau : toujours ce balancement d’une émotion à l’autre. L’amour parraine la peur, qui parraine l’amour, qui parraine la peur… »
« S'il est vrai qu'il n'existe que deux émotions fondamentales - l'amour et la peur -, il serait cependant plus approprié de dire qu'il n'existe que l'amour ou la peur, car on ne peut les éprouver en même temps. Elles sont opposées. Lorsqu'on a peur, on ne peut pas aimer, et inversement. »
« La peur est l’énergie qui contracte, referme, attire, court, cache, entasse et blesse.
L’amour est l’énergie qui s’étend, s’ouvre, envoie, reste, révèle, partage et guérit.
Or on t’a enseigné à vivre dans la peur. On t’a parlé de la survie du plus fort, du succès du plus habile. On parle rarement de la gloire du plus aimant. Ainsi tu t’efforces d’être le plus fort, et si tu ne te sens pas à la hauteur tu crains la perte car on t’a dit que les inférieurs étaient perdants. Alors tu choisis l’action parrainée par la peur. Lorsque tu choisiras l’action parrainée par l’amour tu feras plus que survivre, plus que gagner, plus que réussir.
Pour ce faire tu dois renoncer aux enseignements de tes tuteurs, bien intentionnés mais mal informés, et écouter ceux dont la sagesse vient d’une autre source. Mais le meilleur rappel ne vient pas de quelqu’un d’extérieur à toi, mais la voix qui est en toi. C’est le premier outil que J’utilise car c’est la plus accessible.
La voix intérieure est Ma voix la plus forte, car la plus proche de toi. C’est elle qui te dit si tout le reste est vrai ou faux, bien ou mal. C’est ce qui doit guider ton chemin, si tu l’acceptes.
C’est cette voix qui te dit tout de suite si les paroles que tu es en train de lire sont des paroles d’amour ou des paroles de peur. S’il faut les écouter ou s’en écarter.
La vérité, c’est que la plupart des gens se meurent d’inquiétude. L’inquiétude est, après la haine, la pire forme d’activité mentale. L’inquiétude est inutile, et crée des réactions biochimiques nocives pour le corps.
L’inquiétude et la haine – combinés à leurs sous-produits : l’impatience, l’anxiété, l’amertume, l’avarice, le manque de gentillesse, la tendance au jugement – attaquent le corps au niveau cellulaire. Il est dès lors impossible d’avoir un corps sain. À un degré moindre, la dissimulation et l’avidité mènent également à la maladie ou à tout le moins s’opposent au bien-être.
Toute maladie est d'abord créée par le mental. »
« Lorsqu’un monstre prend son essor, c’est que le contexte y est favorable : qu’il trouve de la complicité et que la lâcheté ambiante lui donne du courage.
Là où règne la peur prospère le tyran. »
« Celui qui ne fait de tort à personne, ne craint personne. N’ayant rien à dissimuler, il n’a peur de rien. Il regarde tout homme dans les yeux. Il est toute franchise et ce qu’il dit va droit au but. »
« La peur ressemble à un cercle vicieux. Lorsque nous sommes sous son emprise, nous attirons précisément ce que nous craignons. L'adage La peur est un aimant, est véridique. Nous devons nous rappeler que
la pensée est créatrice. »
« La peur est une illusion, mais elle constitue le principal obstacle au développement personnel et à la capacité de transcendance de l'esprit humain. La peur enferme dans un conflit intérieur et fait perdre tout sentiment de liberté individuelle. »
« Il faut nous débarrasser de toute crainte extérieure. Mais toujours craindre les ennemis intérieurs, redouter la passion bestiale, la colère, etc. Les craintes extérieures cessent d'elles-mêmes une fois que nous avons triomphé de ces traitres dans notre camp. »
« La peur est l’obstacle immuable sur lequel bute l’évolution de l’homme. Nager en eau claire nécessite de se laisser porter par le courant. S’ouvrir à la Force éternelle nécessite une décision profonde en vous : faire confiance, tourner le dos à ces peurs qui sont nichées jusque dans vos cellules depuis le fond des âges, abandonner ces tourments qui agitent vos égos, vos mentals. »
« Les Anges ont affirmé clairement que la damnation définitive n’existait pas, mais ils ont laissé entendre que la peur du
châtiment demeurait pour beaucoup un frein salutaire. Jadis,
l’Église a souvent agité l’épouvantail de la damnation éternelle
en guise d’aide à l’homme mineur, encore irresponsable de ses
actes. »
Nous craignons toujours de n’être pas assez armés. C’est le contraire que nous devrions craindre. Pour moi, on n’est jamais assez désarmé ! On ne laisse jamais assez tomber nos défenses. Beaucoup d’entre nous vivent comme ligotés dans leur quotidien. Ils espèrent se protéger ainsi des agressions et des peurs. Et ils ne voient pas qu’ils se protègent surtout contre la beauté, l’émerveillement dont leur vie est pleine. »