JE SUIS la Voie et vous ne Me suivez pas.JE SUIS la Vérité et vous ne Me croyez pas.JE SUIS la Vie et vous ne Me cherchez pas.Si vous êtes malheureux, ne Me le reprochez pas.
Toute vie et son lot de souffrances a un sens
« Face aux difficultés, nous nous exclamons : « Qu’ai-je fait au bon Dieu ? ». Dites-vous plutôt
: « Si, avant de naitre, j'ai choisi de vivre cette expérience
Extrait de la page : "Pourquoi la vie" :
« Ne fuyez pas la Terre et ce qu’elle vous impose. En naissant vous avez passé avec cet autre vous-même que vous ne soupçonnez pas, un véritable contrat. »
« Nous avons tous eu l'envie de venir ici-bas, et nous avons choisi nous-même notre destin. Chacun possède ce dont il a besoin. Nous connaissions la physionomie que nous posséderions. Tout cela, nous le voulions et nous en avions besoin. »
« Nous choisissons nos parents, nos maris et nos enfants qui nous serons nécessaires pour progresser avant de naitre. Tous les gens importants de notre vie, nous les avons choisis avant en fonction de leurs qualités qui nous seront nécessaires pour notre croissance. »
« Il est nécessaire de comprendre que nos vies sont
orientées. Quand il t'arrive quelque chose dans la vie, tu dois avoir le réflexe de t'interroger sur la signification de cet événement. Tu dois te poser la question : Pourquoi cela m'arrive-t-il ? »
« La souffrance, tout comme le bonheur, dépend de notre interprétation des évènements. Trop souvent nous nous considérons comme des victimes subissant les aléas de l’existence. Mais si nous considérons que nous avons nous-mêmes écrit les évènements qui surviennent dans nos vies, sans essayer de les qualifier de bons, de mauvais, de justes ou d’injustes, alors une tout autre perspective de vie s’ouvre devant nous. Ainsi, quand un malheur nous frappe, plutôt que de se dire : « Je le savais, la vie est dure avec moi », il convient de se demander : « À quoi me servent cette souffrance et cet évènement ? Qu’est-ce que la vie attend de moi ? Pourquoi ai-je choisi de vivre cette expérience ? »
Face à une situation inextricable, le mental s'affole.
Seule la Connaissance, qui élève l'esprit, permet de réaliser que ce n'est qu'une épreuve ; qui n'est ni le fait de la malchance ni d'un acharnement céleste.
Le plus souvent, ce sont nos anges-gardiens (Cf. chapitre ci-dessous "Aide et protection du Ciel") eux-mêmes qui l'ont déposée sur notre chemin. Pour nous réveiller, nous pousser à nous dépasser, ou nous guider.
« Je dois admettre que quoi qu'il puisse arriver, cela sera bon. Je dois mettre en pratique la foi que j'ai en Dieu ! »
L’existence est poids.
Pour celui qui ne s’égare pas, le poids est aileLes tracas plombent notre vie, mais si nous les assumons, ces mêmes tracas nous élèvent..
« Ce n’est pas dans le confort que l’âme évolue, mais dans l’épreuve. Nous vous l’assurons, il n’est exigé l’impossible de personne. Si vous rencontrez une difficulté, un problème, vous êtes capable de le résoudre. Sinon, demandez de l’aide, elle vous sera accordée, lorsque vous aurez épuisé vos ressources. Seuls les aveugles et les sourds se fracassent contre le "destin". »
Quand je suis dans l'impasse :
> je fais ce que je peux pour en sortir
(dans le respect de mes valeurs)
> je conserve une confiance indéfectible en Dieu
> je considère que l'échec serait une autre forme d'épreuve
Les difficultés
☞ Le quotidien
☞ Au sein du foyer
☞ Avec un collègue, un voisin
☞ Quand tout s'effondre autour de nous
☞ Pourquoi la vie est-elle si cruelle avec moi ?Malchance ou étape cruciale ?
Une Mère religieuse explique le vœu d'obéissance aux novices : « Quel bonheur qu'une communauté groupée autour de sa supérieure, où chaque sœur obéit volontiers aux ordres donnés pour le bien commun...
Mais voilà, ce tableau idyllique ne se réalise pas toujours. Telle sœur pense à son bien personnel avant celui des autres et trouble la paix. Telle supérieure, trop autoritaire, donne des ordres contraires à la raison ou fait souffrir une sœur qui ne lui plait pas. Dans ces moments, l'obéissance devient un joug, très dur.
C'est alors l'heure du plus grand amour... saurez-vous porter votre croix ? Tant d'êtres à travers le monde sont obligés de se soumettre à des situations intolérables. Après cette épreuve qui pourra être terrible, vous deviendrez la sœur universelle, libérée de vous-même, capable de comprendre et donc d'aider les détresses humaines. »
L'obéissance a battu en brèche ce que j'avais en moi de dur, d'intraitable (sœur Emmanuelle confesse dans son livre posthume que son côté rebelle a toujours été un gros problème pour elle). Elle m'a appris que le "plus grand amour" exige, comme le dit Pascal, "la renonciation totale et douce". Pour y parvenir, je passerai un jour par le feu. »
et garde-toi de décisions soufflées par la colère ou l'orgueil.
Si aucune aide ne vient, l'épreuve peut consister à observer nos réactions tandis que nous pataugeons sans aucune aide, dans le noir total (Cf. l'histoire de Job).
« Si tu ne peux te refuser à tenir un rôle dans la pièce, comédie ou drame du monde, du moins comprends qu'il n'y a là qu'un jeu. Les différences n'existent que sur les tréteaux et la pièce terminée, les acteurs seront dépouillés des défroques dans lesquelles ils se sont montrés. »
( Enseignement oral du maître tibétain d'Alexandra David-Néel )
« Vos expériences de vie, en vous plaçant tantôt en position de force ou de faiblesse, vous faisant interpréter plusieurs rôles, vous amènent à vous interroger sur l'attitude à avoir dans de nombreuses situations. »
; de nous libérer des tensions intérieures que nous avons amassées en nous par nos pensées, nos paroles et nos actes et qui sont devenues les causes premières de notre destin. »
« Un Maître exprime sa reconnaissance devant la difficulté car il sait que toute expérience engendre la croissance du SoiExtrait de la page : "Se reprendre" :
Chaque être est relié à son Soi intérieur, lequel est relié à Dieu.
Notre être profond
« En vous il y a deux personnages, l’un terrestre, collé à la matière, englué dans ses lourdeurs, et l’autre céleste, se laissant porter par la lumière. Au moment où vous concevez vos deux pôles, vous devenez avides d’unité et entamez votre quête de pureté. Mais c’est là aussi que les ennuis commencent ! Dans l’innocence de l’inconscience, vous trouviez une certaine tranquillité, en fonctionnant suivant les mêmes schémas depuis des générations, aptes à goûter les plaisirs de la chair.
Cependant, dès lors que votre conscience s’ouvre à une lucidité plus grande, votre soif de clarté se trouve confrontée aux ombres.
En proie à un désespoir existentiel, votre mental vous joue alors de tours monumentaux. Vous devenez la proie du chagrin, des doutes terribles, de la solitude et de votre impatience.
Nous sommes avec vous plus que jamais dans ces errances. Car alors nous reconnaissons en vous la flamme, le feu intérieur.
Alors commence un dialogue intérieur entre votre âme, qui nous a déjà reconnus, et nous qui sommes vos serviteurs, vos compagnons de route. À vos côtés, prêts à vous soutenir dans les passages difficiles, souriants à vos balbutiements d’enfant de lumière.
En votre for intérieur, ego de terre et âme de lumière se manifestent l’un à l’autre et se montrent à tour de rôle. Rien ne sert de les ajuster d’une main de maître, rien ne sert de souhaiter leur amitié féconde. Leur rôle n’est pas de s’évincer. Ainsi vous grandissez, en faisant en vous l’union de votre part d’homme incarné et votre part d’éclat de lumière. C’est là, dans l’axe équilibré entre ces deux aspects de vous-même, que vous touchez la nouvelle dimension qui vous permet de Sur-vivre (parmi les tourments terrestres). Alors votre personnalité de lumière irrigue votre être incarné dans la matière pour un enfantement heureux : celui de l'Homme nouveau en vous, reflet incarné du Père Créateur. »
« Il n’est pas de circonstance, aussi tragique soit-elle, qui n’ait sa raison d’êtreExtrait du chapitre : "Pourquoi revenir ??" :
« Pour l’âme qui vient du ciel, la naissance est une mort », avait dit Empédocle, cinq cent ans avant le Christ. Quelque sublime que soit un esprit, une fois englouti dans la chair, il perd le souvenir de tout son passé. Sa conscience terrestre est soumise aux lois du monde où il s’incarne ; il tombe sous la force des éléments. Grand sera l’effort pour recouvrer la conscience de sa mission. »
Toute épreuve peut -et doit- être utilisée pour s'élever, se remettre en question. « Le fait qu’il y ait nombre d’obstacles en apparence est une grâce qu’il vous faut comprendre, car c’est dans la difficulté et l’urgence que vous êtes le plus à même de mobiliser toutes les forces de votre créativité. »
« La bonté de Dieu ne se dévoile pas toujours à travers des évènements heureux. Il faut parfois une catastrophe ou un malheur pour nous sortir de notre léthargie, nous inciter à reprendre notre travail de perfectionnement sur nous-mêmes. Mais d’un malheur peut surgir un bonheur éclatant : le mal n’est en fait qu’un moyen pour accéder au bien. L’homme ne peut pas concevoir ce qui n’a pas de contraire. L’antagonisme de deux forces permet de saisir clairement la vraie valeur de chacune. »
« Je m'aperçus qu'une bonne part de mes expériences avaient été orchestrées par des anges gardiens. Tristes ou merveilleuses, toutes étaient conçues dans le but d'accroître ma perception de moi-même, de m'élever à un plus haut niveau d'entendement. »
« L’Ange qui veillait si tendrement sur Lili, n’a jamais écarté d’elle les tentations, mais lui a enseigné combien elles sont indispensables à sa croissance intérieure. »
« Pour se construire, l’homme doit affronter l’épreuve. Ce dont il n’est pas toujours conscient, c’est que ces épreuves il se les inflige lui-même, par ses choix, par son comportement. »
« Nous pouvons refuser de nous élever sur la marche, qui est bien souvent celle de la souffrance ; nous pouvons refuser cet effort, mais alors il devra se faire plus tard, parfois même dans les sphères sombres de l’au-delà. »
« Dis aux humains de la Terre que la fuite de ce que vous nommez “difficultés” est une illusion. Un être en proie à des épreuves et qui cherche à échapper à son histoire se retrouvera immanquablement face à elle. Personne n’échappe à l’école de la Terre car son âme l’a voulu ainsi. »
« Chaque réussite nous apprend quelque chose ; chaque échec nous en apprend encore davantage. Toute expérience vaut la peine d'être vécue. Même l'homme qui va être pendu apprend quelque chose. Celui qui déclare en marchant à la potence : « Ce sera une leçon pour moi ! », celui-là n'a pas tort. Ce sera une leçon pour lui - pour sa prochaine existence.
C'est la raison pour laquelle je ne choisis pas le chemin le plus facile, mais toujours le plus difficile.
»
« Tout dans l'univers est flux et reflux. Les séparations, les retrouvailles, les espoirs, les déceptions. Ce n'est pas le combat de l'Ombre contre la Lumière mais le jeu des alternances, la marque sereine de l'équilibre. Toute vie naît de là, d'un mouvement qui rencontre une autre mouvement, c'est-à-dire d'une action qui découvre son contraire. Le contraire n'est aucunement l'ennemi, le savez-vous ? »
« La qualité de vie, s'il s'agit d'une balance entre agrément et désagrément, est pratiquement la même pour un aborigène de la forêt que pour le citoyen d'une société "développée". Les problèmes ne sont pas les mêmes, les compensations non plus. »
Avec nos cinq enfants les problèmes se sont succédés. Parfois, désemparé, ne sachant plus que faire, j'appelais Dieu de toutes mes forces, le jour, la nuit. Je Lui disais que je n'étais qu'un homme et que malgré tous mes efforts, je ne m'en sortais pas avec l'enfant qu'il m'avait confié. Chaque soir avant de m'endormir, je suppliais le Ciel de m'aider, chaque matin, j'étais à l'écoute de ses inspirations.
Et toujours, tout s'est arrangé, tout a trouvé une solution.
Cf. chapitre ci-dessous : Aide et protection du Ciel
Se surpasser
« Pareil aux arbres, construis-toi dans le vent, la neige et la pluie. »
« Découvrez vos forces, sachez les utiliser, n’appelez pas inutilement à l’aide. Si vous cherchez, posez-vous la question juste et apprenez à écouter.
L’aide que vous demandez vous sera accordée, lorsque vous aurez épuisé vos ressources. Seuls les aveugles et les sourds se fracassent contre le "destin". »
Il est des situations bloquées, pourrissantes, au sein d’une famille, ou avec le conjoint, un collègue, un voisin… C'est une calamité pour l'ego et la vie insouciante à laquelle il aspire, mais une occasion pour l'âme de s'élever.« Toute contradiction sans solution, tout irréparable litige, t’oblige de grandir pour l’absorber. »
« La Terre est une école de courage et de perfectionnement. Un être humain n’est en aucun cas le jouet du hasard et des circonstances. Il se façonne lui-même selon sa volonté et ses facultés. Vous voyez de l’injustice dans tout cela, mais vous vous trompez. Vous êtes convaincus que telle glande [ exemple la tyroïde pour les nains ] crée tel trait de caractère ou telle aptitude, vous êtes dans le vrai. Cependant vous n’allez pas au bout de votre raisonnement. D’où vient qu’une glande se manifeste par une plus ou moins grande activité ? d’un influx nerveux, canalisé par l’encéphale. Mais de qui l’encéphale reçoit-il ses ordres ? Que la raison et la logique humaine se donnent la peine de chercher honnêtement et toujours plus haut car la solution ne se trouve pas dans la matière. La vision charnelle des hommes n’est capable de témoigner que des conséquences des lois fondamentales qui régissent l’équilibre du cosmos.
Vous tous humains, vous devez dépasser les limites que la Nature vous a apparemment imposées. Vous en avez en vous la capacité. Il vous appartient de cultiver votre âme afin de cheminer sur la voie droite qui mène aux états supérieurs de conscience. »
« Lorsque je me retrouve confrontée à une situation dangereuse ou très contrariante, on m’a enseigné à utiliser des affirmations du genre : « Je suis un esprit infini » ; « Je suis un esprit et je ne suis jamais seule » ; « Je suis un esprit et je suis toujours en sécurité ». À force de répéter de telles affirmations, nous en absorbons progressivement la signification. Elles nous rappellent que nous ne sommes pas seulement des êtres finis et que quoi qu’il arrive dans le cadre d’une incarnation, il ne s’agit jamais que d’une parcelle temporaire de notre existence. »
« Ne perds pas une seule occasion d'évoluer. Ne fuis jamais devant les obstacles, ils te permettront de développer ta résistance mentale et psychique. »
« Ce soir tu es si triste. Écoute bien ceci : tout ce qui casse vos routines nous réjouit. Le fait que vous brisiez votre automatisme quotidien nous est un sujet d’enchantement.
» Une habitude est un cordage amarré au sol. »
L’habituel cache les défauts.
Si tu le renverses, ils apparaissent.
L’habituel, c’est la mort, le Dissimulateur, le Sournois.
C’est l’ennemi qui se cache dans ce qui est mort.
« Rien ne contrarie plus notre influence que ces eaux dormantes dans lesquelles vous stagnez (habitudes, routine). Votre entendement est insensible à nos radiations. »
« Si s'installe dans vos vies une adhésion confiante et observatrice à tout ce qui vous arrive, vous savez alors que derrière chaque expérience, qu’elle soit lourde ou joyeuse, se cache un authentique apprentissage.
Nous aimons alors vous regarder lorsque s’installe cette intime conviction d’une connivence entre vous et cet invisible qui vous surprend. Nous aimons vous voir jouer ainsi sous les chapes de plomb, étoffés par la certitude que tout va s’arranger pour votre plus grand bonheur. Nous aimons vous dévoiler quelques murmures pour vous aider à persévérer. Nous aimons vous donner la main dans les moments pénibles et vous irradier de joie aux moments les plus imprévus. »
« Les désirs contrariés, les envies et pulsions inassouvies, les séparations cruelles, l’indifférence, les tromperies, la désinvolture de ceux que l’on aime, les refus aux demandes répétées, les vexations, tout cela peut, paradoxalement, se révéler très profitable, si le point de vue est changé. »
« J'ai eu la conviction que la mort n’était que la continuation de la vie quand ma mère, décédée, m’a parlé. À l’époque je ne croyais pas trop à la "médiumnité", mais mon scepticisme disparut sitôt que je vis la médium entrer en transe. Elle dût rapidement se coucher et adopta la posture qui était autrefois celle de ma mère en raison de sa paralysie. Je voyais les traits et les caractéristiques de ma mère se superposer clairement à ceux de cette femme.
À grand-peine, ma mère s’adressa à moi. Elle m’expliqua qu’elle avait choisi une vie difficile pour apprendre la compassion envers ceux qui souffrent et qu'en dépit des apparences, si l'on regarde sous la surface, on constate que les choses sont toujours justes.
Le message qu'elle me délivra transforma ma vision du monde et provoqua la réouverture des dons de clairvoyance que je possédais enfant, mais que j'avais rejetés, craignant d'être anormale. »
L'échec, l'injustice, sont bien amers quand nous avons fait de notre mieux et que nos efforts sont balayés, que le dupeur triomphe et nous laisse humiliés.
Nous avons échoué.
En apparence.
Car quel est le plus important? Une victoire en ce monde
ou la construction de notre âme ?
« La terre des hommes est comme les hommes, elle engendre l'injustice; Dieu parfois répare le mal, mais ce qui est extérieur à l'être est soumis aux lois extérieures. Le paresseux peut se trouver dans la même opulence que le vaillant, et le méritant plus mal traité que le libertin. Ne cherchez aucune hiérarchie noble là où l'homme est le maître.
Mais il existe un royaume où le soleil ne luit que pour celui qui travaille; pas de récompense pour le tiède, seul est gratifié le pèlerin qui peine. L'anxieux trouve le repos, tandis que l'autre est sans apaisement. »
« Dès que vous travaillez à votre perfectionnement intérieur, vous êtes amenés à vous dépouiller de l'idée d'injustice. Il n'y a jamais d'injustice là où le contre-coup d'un choc ou d'un échec vous a fait avancer d'un pas. »
Un échec dignement accepté vaut mieux qu'un succès.
« Vous devez faire face honnêtement à votre rêve détruit. Fuir le problème en essayant de chasser la déception de votre esprit vous conduirait à un refoulement psychologique néfaste. Examinez au contraire hardiment votre insuccès : "Comment puis-je transformer cet obstacle en un point de départ ?".
Beaucoup ont ainsi changé leurs épines en couronnes. »
« N’ancrez pas vos échecs en vous-même, détachez-les de votre esprit, qu’aucune mélancolie ne vienne les fortifier. Restez toujours un observateur lucide des déplaisirs infligés par les circonstances. »
« Amis, vous ne pouvez faire l'économie de la lourdeur terrestre. Il vous faut la traverser profondément avec tout ce que cela comporte de maladie, de déceptions et de souffrance. »
« Les erreurs sont inévitables, faites simplement en sorte qu’elles ne soient pas inutiles. L’évolution humaine est faite d’errements et de prises de conscience. »
Sorcier indien Yaqui : « Tout ce que je fais doit être un acte libre de toute attente, exempt de la peur de l’échec et de l’espoir du succès, délivré du culte du moi. »
« Je n'ai jamais été battue physiquement, mais j'ai des bleus à l'âme.
En évoquant le viol, on songe le plus souvent à celui du corps, mais il ne faut ni oublier ni minimiser le viol de l'esprit, de l'âme, que nombre d'entre nous subissent souvent. Les auteurs de cet acte, loin d'être de violents criminels, mais pour la plupart des gens ordinaires, lèveront les bras au ciel si on les traite de violeurs.
Et pourtant ils en sont bien, car tout geste accompli pour nous dépouiller de notre propre valeur, de notre amour-propre et de notre assurance est un acte de viol.
En réalité, il nous est tous arrivé d'être victime. Pire encore, nous avons tous occupé, à un moment donné, le rôle du violeur. Cette réalité, nous devons la regarder sans détour si nous voulons entretenir une bonne relation avec nous-mêmes. C'est difficile à admettre, et nous commençons même par le nier, mais c'est un fait avéré : lorsque nous sommes en colère, nous donnons des coups, nous blessons. Parfois lors d'une plaisanterie aux dépens d'un tiers : nous lui dérobons quelque chose.
Au cours de ma vie, la colère et la frustration m'ont poussée à dire beaucoup de choses. Même si je me suis accordé quelques bonnes excuses, je ne suis pas toute blanche. Il n'est pas facile de se regarder en face, et j'aurais pu me donner de sacrés coups de bâton sur la tête, mais je ne peux ni annuler mon geste ni effacer mes paroles.
Lorsque deux êtres se disputent violemment, chacun peut-être tour à tour, victime ou violeur. Quelle que soit la discussion, quiconque essaie d'imposer ses convictions par la force à un tiers veut dépouiller cette personne de ce qu'elle estime juste. »
« L'âme est une partie supérieure de nous-mêmes, mais cette dimension entre notre être incarné et notre essence divine peut être blessée par certaines expériences vécues dans l'existence. »
Amour-propre froissé, orgueil malmené, attentes contrariées... Autant de coups de canif à notre ego. Injustes ou pas, ne nous hâtons pas à le plaindre ou pire, le venger. Ces outrages à notre image sont autant d'occasions de nous dépasser.
« Excellente cette indignation qui te forcera de te refaire en ta maison »
Ceux que nous côtoyons émettent des signaux parfois négatifs. Mais qu'est-ce qui a motivé tel geste, tel mot de leur part ?
Leur humeur ? ou notre attitude, présente ou passée ?
Nous aussi, nous émettons des signaux
Extrait de la page : "Les relations humaines" :
Se voir et s'accepter
Qui a conscience de ses faiblesses comprend celles des autres ; qui ne se remet jamais en question est implacable.
« Si quelqu'un nous regarde comme son ennemi, nous en sommes les premiers responsables. »
suite... désagréables. Même si on ne nous le fait pas remarquer, sont-ils oubliés ?
Avant de décider de nous vexer, prenons conscience de cela.
« La plupart des gens entendent des insultes là où une simple observation a été faite, si cette observation a trait à une chose qu’ils ne veulent pas assumer. »
On se moque de moi, ils ont raison. Mon ego est ridicule avec son orgueil, sa fierté.
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Savoir rire de soi-même
« Tu n’as d’espoir que dans le sacrifice de la vanité de ton image. Excellente cette indignation qui te forcera de te refaire en ta maison(te bâtir intérieurement). »
« Mes adversaires pensent me nuire, disait Rabbi Nahman. En fait, ils m’aident énormément ; mes lueurs, c’est à eux que je les dois.
J’ai besoin qu’on me cherche querelle. Ainsi je m’élève à chaque instant de degré en degré ; je change d’être à tout moment. »
On l’injuriait, on l’humiliait. On finit par douter de sa raison, réalisant ainsi son souhait profond.
Eh oui, il tenait à ce que les gens le regardent de travers. C’est pourquoi il changeait souvent d’identité, de déguisement ; il se voulait autre. Comédien, imposteur, bouffon, plutôt que Rabbi.
Il savait rire, voulait rire, d'abord de lui-même, et puis du reste. Il jouait avec les gamins dans la rue pour railler le Rabbi en lui ; il jouait à la guerre pour ridiculiser les guerres. Il posait au fou pour se moquer de la raison et des apparences, au nomade sans bagage pour souligner le grotesque de la possession.
Il faisait le pitre pour se défaire des dernières traces de vanité qui subsistaient en lui ; à la maison il choisissait l’autre extrême : il désarmait son orgueil en le poussant à bout ; en exagérant sa propre importance dans tous les domaines. En se conférant des dimensions invraisemblables, volontairement caricaturales. Pour en rire, et certainement aussi pour provoquer ses adversaires. »
« La compréhension du pantin que je suis me libère de ma servitude. Pauvre pantin défraîchi ! L'humour est vainqueur, comme il est bon de rire de soi... »
« Il n'y a pas de raison d'être sérieux dans tout ce que l'on fait, puisque l'humour nous aide à rire de nous-mêmes.
Lorsque l'on parvient à rire de soi, et non pas des autres, on s'approche des questions essentielles qui permettent de se ressouvenir d'oser aimer les autres, et donc d'avoir une porte ouverte vers le but à atteindre. J'avais l'humour pour les autres mais pas du tout pour moi. Pour rire de soi, il ne faut pas avoir peur de se voir idiotement ; d'être capable de se voir pleurnicher pour des petites choses, quand on a des trésors en soi dont on ne fait strictement rien. »
Ce qui est Voie pour vous est Poids pour moi.
(Descendre vers la Terre est une épreuve pour les Anges car ils doivent abaisser leur vibration)
Le Poids qui pèse sur la terre, c’est la Voie.
(Le Poids, c’est la charge qui pèse sur l'homme durant son séjour sur Terre)
CELUI QUI SUR LA TERRE EST SANS POIDS,
EST SANS VOIE.
(L'homme qui n'a pas de responsabilités ou qui ne les assume pas, se détourne de la Voie de l'élévation)
LA MATIÈRE QUE VOUS ASSUMEZ, C’EST LE POIDS.
« Pour un alcoolique, le fait de boire détruit son magnétisme et le fragilise. Des êtres dépourvus de pureté peuvent alors se nourrir à ses dépens ; c'est sa force vitale, celle qui lui permet de vivre sur Terre, qu'ils convoitent. Pour eux, celle-ci représente une possibilité de vivre, comme l'eau pour la plante. Et en vidant leur victime de sa force de vie, ils l'épuisent véritablement. On peut les comparer à certaines plantes parasites qui élisent domicile sur un arbre.
La meilleure chose qui puisse arriver à un ivrogne, est de rencontrer quelqu'un doté d'une solide volonté et de pouvoirs magnétiques, car le magnétisme possède un pouvoir curatif. »
« Lorsqu’un être laisse un espace non-habité, dans son corps physique, ce qui est le cas avec tout ce qui est “drogues”, des entités qui cherchent un véhicule pour expérimenter la matière ou pour continuer à vivre une vie sur terre, s’empressent de prendre la place. Ces entités ne connaissent pas les lois humaines et sont par essence amorales. Les conséquences peuvent en être dramatiques car elles agissent et réagissent selon leur niveau de conscience qui est très souvent primaire. »
« Les personnes qui souffrent d'un profond désespoir ou qui ont un tempérament autodestructeur, comme les alcooliques et les toxicomanes, sont particulièrement sensibles aux attaques négatives. »
« L'alcoolique est en fait prisonnier d’une entité désincarnée - souvent un parent proche mort intoxiqué. Pour soigner l’alcoolique, il faut soigner deux personnes : le malade vivant et son parasite. »
Je souffre. À chaque inspiration j'ai cette barre sur la poitrine qui m'étouffe. La nuit, le jour.
Mon seul répit est lorsque je prends une gorgée d'alcool. L'effet est immédiat. Mon cerveau se dégage, ma poitrine se libère de l'étau qui l'enserre.
Toute ivresse est avant-goût du sans-Poids.
C’est pour cela que l’homme la recherche...
mais sur le mauvais chemin.
Mais je prends garde à l'addiction. De plus, je sais que la souffrance est inévitable quand on vit sur terre, et je sais que se débattre pour sortir de certaines situations revient à s'agiter alors qu'on est pris dans des ronces.
Je n'ai pas renoncé à l'alcool pour autant. Mais je réserve le vin pour les repas. J'en prends deux verres. Le restant du temps je fais appel à ma volonté et je respire de l'essence de lavande car elle est anxiolytique.
✩ ✩
Je viens de lire un bouquin sur les méfaits de l'alcool. Ça fait peur.
À partir d'aujourd'hui j'arrête de lire.
✩ ✩
Une fumeuse sous influence
Le guide de Sylvie l'interpelle : « Je t'ai entendue tout à l'heure réaliser que la cigarette t'aidait à refouler tes émotions. C'est totalement vrai ! Mais comment veux-tu te connaitre si tu te coupes de tes émotions intérieures ?
Ton corps est un outil précieux, tu dois l'aimer et le respecter. Tu as l'entière responsabilité de l'affaiblir ou de le protéger. Avoir un corps sain et léger doit devenir une priorité pour toi. Écoute Jean, un ancien fumeur décédé d'un cancer :
« Au-delà de toute influence extérieure, le fumeur est à la base un nostalgique, un mélancolique. Le tabac, comme l'alcool, est un anesthésiant qui procure des bouffées de plaisir, mais apporte au fil des ans une torpeur, un déséquilibre émotionnel, inondant les organes délicats de toxines, les dévitalisant et brisant ainsi l'équilibre du corps humain. Chaque être devrait savoir pourquoi il installe une bombe à retardement dans ses profondeurs... L'homme combat la douleur, mais la recherche aussi puissamment... Vanité de celui qui croit qu'il peut contrer les lois naturelles de la nature sans en payer le prix.
Quand un fumeur accro meurt, son désir de fumer, lui, ne disparait pas. Il se "colle" alors à un ou une fumeuse pour perpétuer son vice à travers ses sensations. Il me semble que ces derniers temps, vous fumiez sans vous en apercevoir... »
Cette vérité que j'avais étouffée par ma passive complaisance happe ma conscience. La moitié de mes « amis » décédés FUMAIENT ! (par compassion, Sylvie, la médium s'est laissée envahir par une trentaine d'entités errant entre deux mondes) Je le sais car nous en plaisantions souvent. Quand je sortais en oubliant mes cigarettes, il y en avait toujours un ou deux pour me dire : « Tu oublies tes cigarettes ! » ou « Tiens, prends une cigarette, cela va te détendre ».
Ma lucidité a un goût amer, mes soi-disant amis s’acharnaient à me détruire pour assouvir le désir de leurs petites sensations terrestres ! L’un d’entre eux était mort d’un cancer de la gorge dû au tabac, mais pas un seul instant il ne m’avait conseillé d’arrêter, au contraire, il me disait :
- Quel plaisir, hein, cette cigarette après le café…
Une colère sourde enfle dangereusement mon cœur. Je me sens trahie, bafouée au plus profond de moi-même.
- Non, non, calmez-vous. Vous risquez de redescendre de plan de conscience et de les retrouver ! Vous seule êtes responsable. N’oubliez pas qu’ils n’ont pas assez de compréhension spirituelle, ils ne se rendent pas compte.
Alors, finie la cigarette ?
- Oui, merci, Jean. Merci pour votre enseignement. Mais vous, quand vous êtes mort, vous aviez encore le désir de fumer ?
- Non, j’ai fumé pendant quarante ans, et ma gorge me faisant souffrir, j’ai arrêté. Quand je suis mort, neuf ans plus tard, j’étais désintoxiqué.
« J’ai pu observer les ravages que toutes les drogues en général causaient sur les décédés non sevrés… J’ai éprouvé alors l’envie de me mettre au service du Ciel pour tenter de sauver ceux qui veulent s’en sortir. »
« L’alcool et les drogues provoquent une sorte de transe, ouvrant la porte aux entités du bas astral qui viennent posséder le buveur ou le drogué.
Le phénomène est le même pour certains concerts de rock où la musique est faite justement pour mettre l’auditeur en transe : martelant violemment les centres glandulaires « Les femmes mettent du parfum pour attirer un homme : l’odeur dégagée joue sur les centres glandulaires, permettant l’ouverture des chakras sexuels. Beaucoup d’espèces animales, à la saison des amours, sécrètent un parfum dans ce but. » (ou chakra), elle provoque leur ouverture en modifiant le niveau vibratoire. L’auditeur « ne se sent plus » et se transforme en zombie... littéralement, car souvent il devient la proie d’une entité.
Les concerts rock aux États-Unis et en Angleterre ont été souvent meurtriers, et suivis d’une recrudescence de violence attestée par les statistiques.
Le vivant est alors manipulé par la force occulte du mort dont il est devenu prisonnier.
D’ailleurs, c’est vieux comme le monde : sorciers et guérisseurs africains provoquaient la transe par la musique. Les rythmes incantatoires, répétitifs, obsédants, ouvrent les chakras. Cette transe, à l’origine, avait un but thérapeutique. Malheureusement, cette musique africaine, et la transe qu’elle produit, a été détournée de son but religieux et thérapeutique, ce qui la rend extrêmement dangereuse.
Ces techniques musicales provoquent l’ouverture des chakras sans aucune protection, livrant des millions de jeunes auditeurs aux forces occultes les plus destructrices.
Il faut savoir aussi que certaines activités « à la mode » comme le yoga, ou les sorties dans l’astral, ou l’emploi des cristaux favorisent le « dévissage » des chakras - avec d’autant plus de dégâts que les gens ne savent pas ce qu’ils font...
D’après Cayce, la première étape de toute méditation et prière est l'ouverture volontaire et contrôlée des chakras ; c’est-à-dire qu’il faut se mettre soi-même en état de transe légère afin de provoquer un changement de niveau vibratoire. »
Chacun d'entre nous est suivi et assisté par plusieurs anges et accompagnateurs. Avec une claire vision de notre vie et du pourquoi de nos épreuves, ils sont partie prenante de notre aventure terrestre.
Où sont-ils ?
« L'Ange fait partie de nous, il est notre plus grande force et nos plus belles qualités, le plus haut niveau de nous-même, celui qui est plein d'amour. Il n'est pas extérieur à nousExtrait de la page : "Se reprendre" :
Chaque être est relié à son Soi intérieur, lequel est relié à Dieu.
Notre être profond
« En vous il y a deux personnages, l’un terrestre, collé à la matière, englué dans ses lourdeurs, et l’autre céleste, se laissant porter par la lumière. Au moment où vous concevez vos deux pôles, vous devenez avides d’unité et entamez votre quête de pureté. Mais c’est là aussi que les ennuis commencent ! Dans l’innocence de l’inconscience, vous trouviez une certaine tranquillité, en fonctionnant suivant les mêmes schémas depuis des générations, aptes à goûter les plaisirs de la chair.
Cependant, dès lors que votre conscience s’ouvre à une lucidité plus grande, votre soif de clarté se trouve confrontée aux ombres.
En proie à un désespoir existentiel, votre mental vous joue alors de tours monumentaux. Vous devenez la proie du chagrin, des doutes terribles, de la solitude et de votre impatience.
Nous sommes avec vous plus que jamais dans ces errances. Car alors nous reconnaissons en vous la flamme, le feu intérieur.
Alors commence un dialogue intérieur entre votre âme, qui nous a déjà reconnus, et nous qui sommes vos serviteurs, vos compagnons de route. À vos côtés, prêts à vous soutenir dans les passages difficiles, souriants à vos balbutiements d’enfant de lumière.
En votre for intérieur, ego de terre et âme de lumière se manifestent l’un à l’autre et se montrent à tour de rôle. Rien ne sert de les ajuster d’une main de maître, rien ne sert de souhaiter leur amitié féconde. Leur rôle n’est pas de s’évincer. Ainsi vous grandissez, en faisant en vous l’union de votre part d’homme incarné et votre part d’éclat de lumière. C’est là, dans l’axe équilibré entre ces deux aspects de vous-même, que vous touchez la nouvelle dimension qui vous permet de Sur-vivre (parmi les tourments terrestres). Alors votre personnalité de lumière irrigue votre être incarné dans la matière pour un enfantement heureux : celui de l'Homme nouveau en vous, reflet incarné du Père Créateur. »
« Tu nages à présent (que tu es dans le monde sprirituel) dans un bonheur croissant, aussi je te demande de tendre la main, dans un élan d'amour fraternel, à toutes les âmes en peine que tu as laissées. Elles sont toujours en train de lutter du côté sombre de la vie ou dans les sphères du plan terrestre. »
« Sur le moment je ne le savais pas, mais je n'étais que le dernier maillon (un esprit peu évolué et donc au plus proche de la terre, mais désireux d'aider) d'une longue chaine d'esprits qui prodiguaient leur aide au même instant. Chaque esprit précéde d'un degré celui qui se trouve en dessous de lui et sa tâche consiste à lui donner de la force, dût-il s'épuiser ou échouer. Mon rôle comportait aussi une leçon : c'est en m'oubliant et en sacrifiant mon bien-être que je pouvais vraiment aider quelqu’un.
Et parce que je continuais à être lié au plan terrestre, je pouvais m'immiscer dans l'esprit d'un mortel plus étroitement que n'aurait pu le faire un esprit plus avancé. Je devais imprimer dans l'esprit de l'homme que j'influençais ce qu'avait été mon expérience. Tout ce que je ressentais, il le ressentait aussi, si bien qu'il aurait pu dire qu'il était obsédé par les conséquences des actes qu'il voulait commettre. »
« N'oubliez jamais que l'Esprit est toujours placé entre un supérieur qui le guide et le perfectionne, et un inférieur vis-à-vis duquel il a les mêmes devoirs à remplir.
Soyez donc charitables, non seulement pour ouvrir votre bourse, mais pour aller au devant des misères cachées. »
« Les guides spirituels nous incitent à mieux connaître nos imperfections, afin de les combattre et les dominer. De cela dépend notre stagnation ou notre avancée sur le le long chemin qui mène à Dieu. »
Alors au lieu de les ignorer, portons attention aux inspirations qu'ils nous adressent, aux signes qu'ils posent sur notre chemin.
Et n'hésitons pas à leur demander de l'aide. « Vous ne savez pas comment faire, mais avez-vous seulement pensé à demander ? »
« Les Êtres de lumière prodiguent des conseils pour guider l’âme, mais ils ne sont pas toujours écoutés d’un corps trop ancré dans la matière.
Les Êtres de lumière, en raison de la nature de leurs vibrations, ne peuvent s’approcher du monde terrestre. Aussi ils ne peuvent intervenir qu’à partir d’un certain moment, lorsque l’âme vient d’elle-même, par son désir de comprendre et de voir, de franchir une étape, une étape importante. »
« Les anges sont tout autour de nous, invisibles et désireux de nous aider, mais Dieu nous a donné le libre arbitre et ils ne l'enfreindront pas. Ce n'est qu'en les sollicitant que nous leur donnons l'autorisation de nous secourir. »
Tu es dans la peine. Tu es... comme au fond d'un puits. Demande à un ange de t'aider.
Imagine la corde se tendre depuis le haut du puits.
Aide l'ange en te délestant de tes pensées tristes.
D'abord celles pour lesquelles tu ne peux rien, puis celles qui relèvent des problèmes non immédiats.
Cf. chapitre ci-dessous : Demander de l'aide
La portée de leur aide
« Un Ange gardien peut nous conseiller sur demande en rêve, par des synchronicités telles qu'ouvrir un livre à la bonne page, attirer notre regard dans la bonne direction ou plus directement par l'intermédiaire de l'intuition. »
« Les guides sont présents dans votre quotidien pour vous porter assistance, non pour vous empêcher de faire des bêtises. Nous avons pour mission de vous protéger, de vous conseiller à travers votre conscience, mais jamais de vous contraindre à quoi que ce soit. Ce serait faire obstacle à votre libre arbitre.- Et que faites-vous quand on ne vous écoute pas ? - Notre aide, et chacun d'entre nous (anges gardiens et guides spirituels) tentera de vous faire entendre raison à sa façon, est proportionnelle à l'attention que chacun porte à sa conscience, mais personne n'est délaissé. Et puis il y a tous vos êtres chers qui, depuis l'invisible, se mêlent à cette ronde des aides célestes. Personne au monde n'est abandonné un seul instant. Jamais. »
« Retenons que plus on prend conscience de (élevons notre pensée vers) leur présence (les anges), plus leur aide est facilitée et efficace. À l’inverse, plus on se sent (s'imagine) seul et démuni, plus il est difficile pour eux de nous aider. »
- L’aide des anges porte-elle toujours sur la conduite morale ? « Même les choses de la vie privée ; ils essaient de vous faire vivre le mieux possible. »
« Notre capacité d'esprit peut en un espace-temps très bref analyser et répondre dans l'immédiat à vos pensées et même parfois ressentir votre pensée bien avant qu'elle ne se manifeste.
(...) Si je suis parvenu à capter sa pensée avant sa répartie, je me permets de passer le message à donner par sa voix. Pour ne pas intervenir de cette façon je capte la pensée de mon petit médium et agis sans passer par son verbe, mais en formulant ma pensée. C'est ainsi que nous pouvons modifier le cours de votre échange verbal lors d'une discussion et même d'une conférence. »
Si mon attention est détournée ou si je suis interrompu alors que je m'apprête à lancer une boutade ou une remarque, j'y renonce aussitôt et je me tais. Car d'expérience, je sais que j'allais dire une bêtise ou commettre une maladresse.
« Les anges gardiens peuvent dévier des objets, nous empêcher d’avoir des accidents, nous souffler à l’oreille des idées, etc. À l’inverse, ils peuvent aussi être à l’origine de certaines de nos mésaventures, comme se casser une jambe ou rester cloué au lit, afin de nous freiner et de nous éviter de nous précipiter dans des dangers encore plus grands. »
« Les guides agissent dans l'ombre parce que vous ne feriez plus un pas sans nous demander notre avis. Alors que notre rôle principal est de chuchoter quelques conseils pour guider chaque être vers l'apogée de ses possibilités. Tout en respectant son libre choix. Chacun de vous est né avec un objectif très précis à atteindre. Nous sommes là pour vous aider à le « mettre en lumière », mais à vous de le réaliser avec audace. C’est un jeu de piste très élaboré. Nous, les guides, vous envoyons constamment des signes… À vous de les interpréter grâce à votre perspicacité. »
« DIEU nous parle par signes. Nous devons impérativement être à l'écoute de ces signes. Les phénomènes de synchronicité par exemple, ne relèvent pas du hasard, ils ont un sens. »
« Des "coïncidences significatives" ponctuent notre quotidien : une bribe de conversation, une enseigne, un slogan publicitaire, une chanson qui passe à la radio… On doit se tenir à l’écoute de la moindre émotion, de la moindre sensation. De temps en temps une petite voix nous parvient, on se dit que c’est une intuition, mais souvent elle se perd dans le brouhaha permanent de notre mental. »
- Comment pourrais-je entendre toujours ta voix ?La réponse m’est donnée avec mépris : Alors tu ne serais qu’une marionnette !
C’est toi qui dois t’approcher de moi.
- Tu me parles rarement. Je ne sais pas ce que je dois faire... « Vous ne devez jamais perdre la maitrise de votre propre existence. Essaie déjà d'entendre ce que tu ne dois pas faire ! »
« Avant de naître, l'homme a décidé, avec un champ de conscience élargi, de traverser certaines zones de turbulence. L'être aimé, dans l'au-delà, assistera à ces traversées difficiles, mais ne pourra pas intervenir. Et même s'il le pouvait, le Guide de l'être en difficulté ne l'accepterait pas, car il voit la difficulté autrement, dans la globalité de la vie de l'âme. »
« Nous avons tous deux ou trois guides qui se relaient pour nous épauler, nous protéger. Certains d'entre eux sont uniquement missionnés pour nous protéger physiquement dès notre naissance et n'ont nul besoin d'entrer en contact avec nous, même s'ils nous accompagnent toute notre vie durant.
Certains guides nous escortent pour nous éveiller à d'autres dimensions spirituelles et vont tout tenter pour nous dévoiler leur présence par des signes, des coïncidences, des intuitions fulgurantes qui nous forceront à nous poser des questions.
Dans des cas particuliers, des guides viennent ponctuellement nous soutenir. Nous ne sommes jamais seuls. Personne n'est seul, à aucun moment de son existence »
« Chaque âme incarnée est sous la responsabilité d’un esprit, ami d’autrefois, désigné par Dieu pour l’aider. C’est un des liens les plus beaux et les plus actifs entre la Terre et le Ciel.
Je suis chère maman, ton « ange gardien ». L’esprit très beau qui te suivait autrefois t’a remise à ma garde, ce qui arrive souvent. Ils attendent le retour d’un esprit momentanément incarné, capable d’exercer une plus grande influence. Mon cher papa est depuis son enfance, sous la garde de sa mère. Esprit particulièrement lumineux que j’ai appris à aimer ici, non seulement comme nous nous aimons dans nos sphères d’amour, mais par ma personnalité et la sienne.
Pour autant les esprits gardiens restent préoccupés de tous ceux qu’ils aimaient sur la terre. Ce n’est pas une question de présence qui nous unit plus particulièrement à une âme, mais de responsabilité. Tu vois, ce n’est pas seulement un tête-à-tête entre toi et moi, nous sommes très nombreux, ceux que vous aimiez sur la terre, que vous aimez encore (car votre oubli cause la séparation) à nous presser autour de vous, nous aidant mutuellement à vous aider.
La « grande nuée » travaille à l’œuvre de Dieu sur vous tous. »
« Un ange gardien (comme on les appelle ici aussi) n’est pas tenu - sauf condamnation particulière - de rester là où il ne se sent pas bien. Ceux qui restent même s’il y a désaccord, le font par amour. »
« Nous, les guides de lumière, ne faisons que suivre les planifications établies, bien avant ta naissance, par toi-même.
(...) Nous connaissons votre parcours. Nous accompagnons les êtres avec qui nous partageons certaines affinités et qui risquent de commettre les mêmes erreurs que nous avons faites du temps de notre vie terrestre. Nous savons parfaitement ce qu'ils ressentent, car nous l'avons vécu. Cela rachète nos propres fautes, mais contribuer à votre avancement est avant tout un acte d'amour désintéressé.
Nous sommes tous animés d'un immense sentiment d'amour et de compassion pour nos protégés, et nous avons tous un grand respect pour votre courage à évoluer en tant qu'êtres humains. »
« Nous sommes au service de l'humanité, à l'écoute de ceux qui crient leur faim, leur soif, leur souffrance de vivre sans amour et sans pain. Nous désirons leur apporter un peu de cette nourriture vivante qui peut alimenter leurs cellules si malades, si tristes, si encombrées de négativité et de miasmes. Alors lecteur, sois prêt à te mesurer à toi-même, à t'abandonner au Flux qui est la Vie, qui renoue avec la tradition primordiale, celle qui a créé l'homme pour engranger l'Esprit et devenir co-créateur avec la Source de Vie.
Nous sommes là, à vos côtés. Pour nous sentir, il faut en vous l'impulsion du cœur, être à l'écoute de sa vérité.
Amis, nous sommes avec vous pour vous enfanter dans la lumière, comme des frères bienveillants. Patients, n'interférant jamais avec votre liberté, mais prêts à utiliser toutes les failles afin de déverser dans les plaies béantes un nectar qui irrigue votre être tout entier. »
« Les anges sont des messagers de Dieu. Nous (guides), ne serons jamais des anges, mais toujours des hommes. Nos maîtres sont des esprits humains arrivés à un degré supérieur (au notre). »
« Accèdent à la Vie éternelle ceux qui se sont définitivement libérés de ces cycles, qui sont parvenus en eux-mêmes à distiller l’essentiel. Ces vainqueurs ont tous une très grande affinité avec l’espèce humaine dont ils sont issus. Ils ont tout connu avant vous. Ils ont été trahis, se sont trompés, ont trompé, ont payé en retour. Ils n’ont jamais été épargnés par la tentation, le doute.
Si Dieu se faisait homme il n'aurait ni pouvoir d'exemple, ni surtout le pouvoir d'enseigner.
Seule une parole d’homme peut aider des hommes.
Ces hommes parvenus au sommet ne peuvent oublier ceux qui se traînent sur la route. Plus proches de chacun d’entre vous que vous ne l’imaginez, ils ne parlent cependant que si vous êtes prêts à écouter; souvenez-vous :
"Du fond de ta détresse, cherche-moi, appelle-moi. Je ne suis pas loin de toi." »
« Je suis l'un de tes guides, tu me nommes Gabriel. Je suis sur un plan moyen, c'est-à-dire où il est permis de se racheter de quelques erreurs commises sur terre en demandant à Dieu la possibilité d'aider un protégé dans sa mission, de le suivre, de le conseiller, de le soutenir, l'encourager quand celui-ci s'efforce de s'améliorer. Je ne suis pas un esprit d'un plan supérieur, je ne suis pas le guide qui supervise ta vie, mais de ceux qui te protègent et t'aident à travailler dans le bien.
J'ai eu sur Terre une vie similaire à la tienne, j'étais médium, en charge de prouver la survivance de l'âme et d'éveiller les consciences. Je ne suis pas parfait mais j'ai fait beaucoup de bien autour de moi. Cependant je suis tombé dans le piège de l'orgueil et de l'égoïsme. Or un médium doit rester humble et n'attendre aucune reconnaissance. De plus, j'ai délaissé les obligations familiales prévues dans mon plan de vie
Extrait de la page : "La réincarnation" :
Décision, plan de vie
- Comment et quand sont définis les buts spirituels que nous devons atteindre ? « Vous vivez tous une période plus ou moins longue d'errance dans le monde spirituel entre deux incarnations. Elle est relative à vos efforts de progresser. Quand votre degré d'évolution vous le permet, vous choisissez les grandes lignes de votre prochaine vie sur terre, avec l'approbation de vos guides. Un plan de vie s'établit, avec le choix de votre famille et son milieu social, vos lignes professionnelles, sentimentales, amicales, matérielles et financières, ainsi que votre santé.
Une partie des expériences de vie est déterminée à l'avance en fonction de vos acquis ou faiblesses des vies passées. Elles deviendront des évènements incontournables, mettant en avant les principales faiblesses à éliminer. Néanmoins, la majorité de vos expériences se révéleront par le libre choix de vos attitudes et comportement. »
« On confond parfois les anges gardiens avec les guides spirituels. Un guide spirituel est un être aimant qui a vécu sur Terre. Ils interviennent aussi à titre d’anges gardiens, en cela qu’ils apportent de nombreux cadeaux dans nos vies. La principale différence est que l’énergie des véritables anges gardiens, qui n’ont jamais été sur Terre, a une fréquence vibratoire plus élevée. »
« Les ailes des anges, archanges, séraphins, ne sont évidemment qu'un attribut imaginé par les hommes pour justifier les déplacements de ces purs Esprits dans les airs. Ils peuvent cependant apparaître aux hommes avec cet accessoire pour répondre à leur pensée, comme d'autres Esprits prennent l'apparence qu'ils avaient sur terre pour se faire reconnaitre. »
La tâche - toujours librement acceptée - par un ange-gardien est des plus ingrates.
► Il quitte la paix des cieux
pour un niveau vibratoire qui lui est presque insupportable.
- Aujourd'hui, il est bon d’être ici. (dit l' Ange par la bouche d'Hanna, qu'il éclaire d'un sourire radieux)
J’ai souvent senti combien il était difficile à mon Maître de descendre et de rester dans notre atmosphère trop dense. Aujourd'hui ma joie rend les choses plus faciles.
« Nous éprouvons une sorte de douleur lorsque nous nous approchons psychiquement de la terre. Nous avons l’impression de pénétrer dans une obscurité étouffante. »
« Une des peines qui ne nous est pas évitée est que nous voyons vos imperfections, et que nous sommes impuissants.
Imagine que tu me regardes à travers une cage de verre et que tu m’entendes mentir ou frauder. »
► Ils n'ont aucune reconnaissance,
leur action ne doit même pas être soupçonnée.
« J’allais durant quatre-vingts ans de vie terrestre devoir accompagner et aider, depuis l’invisible, des “vivants” aux idées suicidaires.
Je décidai d’accomplir cette dernière étape avec tout l’amour dont je me sentais capable. Je pensais tout savoir de l’aide à autrui sans prendre conscience que dans mon orgueil de sauveteur (Steve était pompier), j’oubliais l’essentiel : (en tant qu'ange-gardien, je devais) accepter que l’autre ne nous entende pas, sans ressentir d’impuissance. Se détacher de toute idée d’échec et de réussite… »
► Leurs inspirations sont rarement suivies, et parfois ils en souffrent.
Suite à une réflexion blessante de la mère de la médium :
« Je voyais l'ange gardien de maman se tenir derrière elle, en larmes ; certaines tombèrent sur sa tête. »
« Tes filles sont rentrées. Elles voulaient juste te parler. Tu leur as hurlé dessus et crié de dégager. T'étais de mauvaise humeur, mesquine. On t'a vue, on t'observait... et on t'aime plus. » « Si nous nous montrons méchants, en colère, agacés ou agressifs, ceux appartenant à l'univers poseront sur nous des regards emplis de tristesse. »
► Nous ne les interpelons que pour nos ennuis matériels alors que leur mission première concerne notre évolution spirituelle.
« Pour rien au monde vos aimés ne voudraient redescendre dans la matière ; vos âmes seules font partie de leurs attaches. Alors ne vous étonnez pas de nos silences sur ce que vous croyez être des faits importants de la vie. »
« L'homme peut résister aux mauvaises impulsions de l’esprit, frapper le voisin par exemple, ou le voler. Céder à une telle impulsion, c’est renforcer en vous l’influence de l’entité correspondante. Par contre lorsqu’un tel esprit ne trouve plus d’écho, il s’adapte, cherche une autre voie.
Chacun d’entre vous peut également résister à une bonne impulsion, comme tendre la main, aider. Mais alors vous affaiblissez l’influence de l’entité correspondante et pouvez vous coupez ainsi des forces qui viennent en aide quand tout va mal. »
« Il est difficile de distinguer la pensée propre de celle qui est suggérée. Ce qui caractérise cette dernière, c’est surtout la spontanéité. L’inspiration nous vient des esprits qui nous influencent en bien ou en mal, mais elle est plutôt le fait de ceux qui nous veulent du bien et dont nous avons trop souvent le tort de ne pas suivre les conseils ; elle s’applique à toutes les circonstances de la vie dans les résolutions que nous devons prendre ; sous ce rapport on peut dire que tout le monde est médium, car il n’est personne qui n’ait ses esprits protecteurs et familiers qui font tous leurs efforts pour suggérer des pensées salutaires.
Si l’on était bien pénétré de cette vérité, on aurait plus souvent recours à l’inspiration de son ange gardien dans les moments où l’on ne sait que dire ou que faire. Qu’on l’invoque donc avec ferveur et confiance en cas de nécessité, et l’on sera le plus souvent étonné des idées qui surgiraient comme par enchantement. Si aucune idée ne venait c’est qu’il faudrait attendre. »
« Je ne suis qu'une petite bonne femme qui se trouve un peu mieux placée que vous autres. Je peux donc essayer de faire en sorte que les conséquences de vos maladresses ou de vos erreurs soient limitées. Mais plus généralement, plus normalement, mon aide consiste à inspirer les bonnes décisions. Ça, c'est à ma portée en permanence et ne dépend que de moi seule.
Tu ne perçois pas nécessairement le conseil que je te souffle mais il entre dans ton subconscient.
Les signes sont une faveur qui m'est exceptionnellement accordée. »
« Si seulement ces pauvres humains voulaient se donner le temps de la réflexion, le temps de regarder, ils ressentiraient toutes les vibrations que nous émettons. »
- Pourquoi les gens n'entendent-ils pas les anges comme moi ? « Nous leur murmurons des choses à l'oreille mais il est parfois très dur de les faire écouter.
Les gens entendent, mais pensent le plus souvent qu'il ne s'agit que d'une pensée idiote et n'accomplissent pas ce que nous leur demandons de faire. »
« Le côté besogneux de vos existences, toujours en quête de profits matériels ou d’avantages humains, altère cet état supra-sensible dans lequel il faut être pour recevoir la lumière de l’au-delà. »
« L'aide que les anges peuvent apporter est toujours proportionnelle à notre capacité d'écoute. Si nous sommes animés par le désir de grandir, ils nous aideront. Ils se contentent d'attendre que nous nous arrêtions, pour demander notre chemin et nous mettre à l'écoute. »
« Comment te conseiller ? Tu sembles avoir pris la directive de ta vie en dehors de mes enseignements. Hors du regard de Dieu, sans la grâce, vous ne pouvez rien, vous êtes la proie des forces mauvaises ; elles vous entourent, vous cernent. »
« Nous vous appelons à la véritable vie sur la terre, mais vos pensées s’envolent loin de nous, vers des préoccupations secondaires et temporelles. Notre effort ne peut rien contre votre tiédeur. »
« Je voudrais t'aider, mais je ne peux souvent que te regarder.
Nous avons peu de moyens pour guider les êtres, et notre pouvoir ne s'exerce que sur ceux qui sont aimantés, c'est-à-dire ceux qui sont reliés. Nous sommes impuissants sur ceux qui ne possèdent pas cet élément sacré.
Et je ne peux pas t'éviter les chocs de ceux qui ne sont pas reliés. »
« Quand les anges vous incitent à faire quelque chose, comme de sourire à quelqu’un ou de dire à une personne qu'elle fait du bon travail, même si cela semble sans importance sur le moment, vous devriez le faire ! Des choses apparemment inconséquentes peuvent s'avérer vitales dans l'ordre supérieur des choses. »
- Que devons-nous faire dans l’incertitude ? « Invoque ton bon Esprit, ou prie notre maître à tous, Dieu, qu’il t’envoie l’un de ses messagers, l’un de nous. »
« La réponse à vos interrogations est cachée au fond de vous, voilà pourquoi si votre cœur est prêt à la recevoir, elle surgira d'elle-même sur vos lèvres. »
« Parfois, face à une situation, tu ne sauras tout simplement pas quoi faire. Fis-toi à ta première impulsion, avant que ta pensée se mette en travers, avant qu’elle ne tue l’idée. »
C’EST TOUJOURS LE PREMIER SENTIMENT QUI EST JUSTE.
Le second est déjà réflexion.
Écoute toujours ton premier sentiment.
L’instinct de l’homme a été faussé par le savoir.
Laisse ta tête de côté !
Elle est le premier des serviteurs,
mais toi, tu es son seigneur !
Le mental s’arrête, hors d’haleine, où commence la foi.
Il ne peut jamais l'atteindre.
Le mental ne peut s'élever jusqu'au Ciel,
car il est de ce monde.
« Si nous savions écouter avec notre cœur (pour cela, il faut être pacifié intérieurement et ne pas se mentir à soi-même), nous saurions que la première idée que nous avons d'un être, d'une chose, ou d'un événement, est presque toujours la bonne idée. Si nous écoutons notre cœur, nous nous trompons rarement.
Il faut savoir écouter sa « voix intérieure ». Nous devons être disponibles mentalement pour être à l'écoute du vrai soi. »
« À chacun de vos moments difficiles, vos guides sont là. La solution choisie sera de votre volonté. La nôtre est toujours impliquée dans votre première pensée.
(...) Parfois, nous souhaitons vous faire parvenir une idée ou une interrogation. Un médium capte aisément nos pensées lorsque nous souhaitons faire parvenir une idée ou une interrogation. Mais le commun des mortels doit savoir que notre pensée est la première qu'il perçoit. »
« Le mystère de l’échange avec l’invisible tient en quelques mots : être capable de recevoir, d’ouvrir son être intérieur. Être réceptif n’est pas un acte passif. Un travail est nécessaire. Un travail d’un genre singulier puisqu’il consiste à faire l’effort de rester soi-même, de ne pas dépasser sa spontanéité réceptive. Ne pas se laisser entrainer vers la réflexion, ne pas laisser échapper le contact premier, intuitif avec son être profond. »
« Incitez vos enfants à faire confiance à leur première impression, ainsi qu'à la première information qu'ils ont reçue. Ils risquent sinon de déformer cette dernière en y mêlant des a priori.
(...) Pour accorder ou non notre confiance au nouveau venu, nous nous fions en règle générale à notre première impression. Elle est toujours la plus juste. Alors, suivez votre instinct. »
« Nous sommes envoyés vers vous avec la mission de vous ouvrir les yeux ; mais qu’elle est difficile ! Et qu’il en a peu parmi vous qui comprennent ! Heureusement nous pouvons agir même en dehors de votre acquiescement mental.
Nous pouvons agir sur les incrédules ; malheureusement les mauvais esprits le peuvent également.
Si tu savais combien il nous est difficile de nous faire comprendre dans un langage qui vous dépasse encore… Nous parlons un langage si différent que nous restons presque découragés quand nous devons vous instruire. Nous allons vers vous, recevez-nous ! Ouvrez vos cœurs ! Ayez confiance ! C’est si douloureux pour nous de se heurter à votre indifférence, à votre scepticisme. »
« L’intuition est comme un son, très loin, que tu crois avoir entendu, sans en être certain.
Reste attentif à chaque pressentiment. Puis agis sans laisser ton esprit (le mental) t’en écarter, sans laisser la peur t’en détourner. L’intuition ne réside pas dans l’esprit. L’intuition est l’oreille de l’âme. »
Tu recevras les réponses à tes questions.
Imagine une feuille blanche :
les réponses vont s’y inscrire.
C’est l’intensité de tes questions qui les fera naître.
À une vraie question vient la réponse.
« Comme vous êtes durs à comprendre, aveugles et sourds à ce qui n’est pas tonitruant, évocateur immédiat du sens attendu ! Si vous saviez vous mettre à l’écoute de votre vie, combien vos vies seraient plus faciles ! Tant de signes ténus jalonnent le chemin.
Cette voix si fine, presque inaudible, est la brise de votre conscience. Dans l’opacité de vos misères, dans la noirceur de la dépression la plus féroce, vous pouvez trouver cette douceur tendre qui vous susurre : "Aie confiance ! Tu n’es pas seul." »
« Je ne cesse de vous adresser Mes messages, mais ils ne sont pas entendus ou mal compris.
Mon messager le plus puissant est l’expérience. Et même celui-là tu l’ignores. Surtout celui-là, tu l’ignores. Ton monde n’en serait pas là si tu avais été à l’écoute de ton expérience. Et pour cela, tu continues à la revivre, à répétition. Mes messages arrivent sous mille formes, à mille moments. Si tu écoutes vraiment, tu ne pourras les manquer.
Lorsque tu les auras vraiment entendus, tu ne pourras les ignorer. Notre communication deviendra alors sérieuse. Dans le passé tu t’es contenté de Me parler, de M’implorer. Si tu sais écouter –et attendre–, tu auras des réponses. »
- Comment développer l'intuition ? « Faites encore et toujours davantage confiance à ce qui vient du tréfonds de vous.
Chaque fois qu'une question se pose, interrogez votre moi mental, et obtenez-en la réponse, oui ou non. Faites confiance à cette réponse. N'agissez pas immédiatement, mais, en priant et méditant, regardez à l'intérieur de vous-même, et demandez si c'est oui ou non. La réponse vient en même temps que se développe l'intuition.
Gardez le corps, l'esprit, l'âme, branchés sur les sphères des énergies célestes, plutôt que sur les forces terrestres. »
« Il me fut rapporté par une personne ayant suffisamment connu Albert Einstein pour qu'il lui en fasse la confidence, que sa fameuse formule E = mc2 s'était révélée à lui au cours d'une méditation. »
« (...) C'est la plupart du temps grâce à ces intuitions fulgurantes que vous changez d'idée et que vous échappez à quelques ennuis. Les guides (ou les êtres décédés que vous avez aimé) sont prioritaires pour se servir de ce canal. Nous ressentons tous une joie intense quand l'intuition est suivie. »
« Les esprits ont de tous temps exercé leur influence salutaire ou pernicieuse sur l’humanité. La faculté médiumnique n’est pour eux qu’un moyen de se manifester, ils le font de mille autres manières. Cette influence est de tous les instants, et ceux qui ne s’en occupent pas ou n’y croient guère, y sont exposés comme les autres. »
« Si vous vous sentez bloqué à un moment dans votre vie, écrivez sur un bout de papier une prière d’appel à l’aide aux anges, et glissez-le sous votre oreiller. Relisez-le mentalement avant de vous endormir. »
« Il faut rappeler que l’intensité des impulsions en provenance du monde spirituel est inversement proportionnelle du niveau d’où elles proviennent. Une entité élevée émettra des impulsions subtiles, une entité grossière des impulsions fortes.
Gardez le cœur ouvert aux appels silencieux. »
Une prière n'est ni une récitation, ni une attitude qui va nous attirer la considération et les bonnes grâces du Ciel.
Il s'agit d'un acte ; qui nous implique, nous engage.
Une pensée réfléchie que l'on adresse à Dieu
Peu importe le nom qu'on lui donne. Les prières qui Lui sont adressées sont d'abord et immédiatement entendues par les esprits aimants qui nous accompagnent..
On peut remercier, demander, mais aussi protester, et même L'injurierExtrait de la page : "Toi qui rejettes Dieu" : « Beaucoup de ceux qui réfutent Dieu, qui ressentent le côté inhumain de certains mécanismes naturels, beaucoup de ceux-là dans leur révolte, sont plus près de nous que certains croyants aveugles. Ces hommes sincères ont la foi, mais ils ne le savent pas. »
Si Dieu existe, Il doit souffrir de voir ceux qui, devant le malheur d'un voisin, Le remercier de les avoir épargnés.
Si Dieu existe, Il n'a que faire de ceux qui L'aiment d'emblée, sans se poser de questions, par crainte ou intérêt
Si Dieu existe, Il n'a que faire de moutons bêlant ses louanges.
Il faut s'insurger devant la souffrance d'autrui. Il faut s'indigner de la mort d'un enfant.
Dieu a planté l'homme sur ses deux jambes et l'encourage à venir L'interpeler. « Tiens-toi sur tes pieds, a-t-Il dit à Ézéchiel, et je te parlerai. »
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« L'homme doit choisir Dieu. Les solutions toutes faites ne servent qu’à donner bonne conscience à qui aime dormir et vivre tranquille ; pour ne pas traquer la vérité, on prétend l’avoir trouvée. Or, dit-on à Kotzk, la révélation elle-même, devenue habitude et façade, ne peut que paraître suspecte. »
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Dieu peut tout comprendre, tout supporter, sauf notre indifférence.
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« Tout arrive avec une prière. Que tu pries consciemment ou non, car tes désirs, bons ou mauvais, agissent comme des prières et attirent autour de toi, en réponse, des pouvoirs bons ou mauvais. »
« Le soir, avant de vous endormir, demandez un coup de main : " Je voudrais trouver une solution à tel problème. Comment puis-je faire ? Je serai attentif à tous les signes et indications que la providence m’enverra pour m’aider à trouver une réponse." »
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Le moment veille-sommeil « L'homme de chair peut, par l’intermédiaire de l’Esprit, entrer en contact avec le cosmos.
(...) Quand vous priez, priez aussi haut que vous pouvez atteindre. La prière est de la pensée active. Visez haut, très haut, avec toute la force de votre sincérité, de votre conviction. Vous contraindrez les couches intermédiaires de l’Esprit à s’élever elles aussi, à porter votre pensée.
Cette prière implique une purification de votre être. »
- Qu’est-ce que la prière ? « Prier Dieu, c’est penser à Lui ; c’est se rapprocher de Lui ; c’est se mettre en communication avec Lui. Par la prière on peut demander ou rendre grâce.
Celui qui prie est plus fort contre les tentations du mal, Dieu lui envoie de bons Esprits pour l’assister. C’est un secours qui n’est jamais refusé quand il est demandé avec sincérité.
Les bonnes actions sont la meilleure des prières, car les actes valent mieux que les paroles. »
« Il est important de se rappeler que quand on est confronté au Mal dans sa vie, une prière récitée par quiconque, quelque soit la croyance, a un impact majeur. »
« Ne vous contentez pas d’invoquer Dieu, il faut aussi l’évoquer, c'est-à-dire vous mettre en présence de Dieu. Constamment dans vos prières, il semble que vous parliez dans le vide, comme si vous parliez à quelqu’un sans le regarder. Quand vous priez Dieu, vos paroles ne traversent pas un espace infini, vous êtes devant Lui. »
« Plus que les prières toutes faites, ce sont celles qui sortent de votre cœur, sans préparation, qui nous font le plus de bien. N’oubliez pas de prier aussi pour ceux qui sont dans l’obscurité, ils en ont bien besoin. »
« Priez pour moi, lui dit un hassidHomme pieux qui prend pour maître un rabbin. Les choses vont mal, j’ai besoin d’aide, intercédez en ma faveur. »
Et le Rabbi, le regardant durement : « Es-tu trop malade pour dire tes propres prières ?
– Je ne sais pas comment.
– Quoi ? Tu ne sais pas ? C’est cela ton vrai problème ! » Et il le congédia.
« Aucune raison de prier n'est trop insignifiante, aucune prière n'est trop courte. On peut prier n'importe où, dans la foule ou tout seul. Parfois nous prions inconsciemment, notamment quand nous pensons à un proche malade ou un ami en difficulté. Lorsqu'une prière vient des tréfonds de notre être, elle est incroyablement puissante. »
« Je vis le globe terrestre qui tournait dans l'espace. Une quantité de faisceaux, tels ceux d'un phare, en jaillissaient. Certains, très puissants, transperçaient le ciel, d'autres semblaient provenir d'une petite lampe de poche, et quelques-uns n'étaient que de simples étincelles. À mon immense surprise, on m'expliqua qu'ils représentaient les prières des terriens.
Nous pouvons tous élever notre âme au niveau du Seigneur par la prière.
Une fois que nous avons émis un vœu, nous ne devons pas faire montre d'impatience, mais accorder notre confiance à Dieu pour le combler.
Notre champ d'intervention est immense. Notre potentiel d'action en faveur de notre famille, de nos amis ou de nos voisins, bien plus important que nous ne l'imaginons.
»
« Pour que vos amis célestes puissent vous secourir il faut que vous ayez confiance en eux. Notre présence près de vous est réelle. Il suffit d’un appel pour nous transporter aussitôt vers l’âme qui souffre. Hélas, quand vos prières ne sont pas exaucées selon vos désirs humains, vous doutez, et vous éloignez de nous ! »
« N'opposez pas votre volonté à des intérêts personnels et momentanés à votre destinée aux finalités lumineuses. Pourquoi chercher à aller à l'encontre du grand Plan d'Évolution auquel vous avez souscrit
Extrait de la page : "La réincarnation" :
Décision, plan de vie
- Comment et quand sont définis les buts spirituels que nous devons atteindre ? « Vous vivez tous une période plus ou moins longue d'errance dans le monde spirituel entre deux incarnations. Elle est relative à vos efforts de progresser. Quand votre degré d'évolution vous le permet, vous choisissez les grandes lignes de votre prochaine vie sur terre, avec l'approbation de vos guides. Un plan de vie s'établit, avec le choix de votre famille et son milieu social, vos lignes professionnelles, sentimentales, amicales, matérielles et financières, ainsi que votre santé.
Une partie des expériences de vie est déterminée à l'avance en fonction de vos acquis ou faiblesses des vies passées. Elles deviendront des évènements incontournables, mettant en avant les principales faiblesses à éliminer. Néanmoins, la majorité de vos expériences se révéleront par le libre choix de vos attitudes et comportement. »
« Il ne faut jamais demander à Dieu la réalisation de désirs matériels, égoïstes. Vous risqueriez de tomber dans un piège. » (Une prière de bas niveau est captée par des esprits de bas niveau)
« Dieu est toute bonté mais Il ne peut accorder ce qui est contraire à l’âme qui l’implore. Soyez moins compliqués, demandez moins à la vie, et vous vous trouverez beaucoup plus riches. Riches des biens véritables, dont le premier est la paix de l’âme. »
« Nous accourons psychiquement, chaque fois que vos pensées prennent la forme d’une prière.
Néanmoins, direz-vous, Dieu n’exauce pas toutes les prières.
Une mère n’accorde pas toutes les requêtes des enfants qu’elle aime, dans leur intérêt. C’est l’explication la plus simple et la plus conforme à la vérité. »
- Et mes prières ? « Tu ne recevras pas ce que tu demandes et tu n’auras rien de ce que tu veux parce que ta demande est l’affirmation d’un manque.
La requête en soi n’est pas nécessaire.
Dieu demeure prêt à t’aider à vivre ta vie, mais pas de la façon dont tu pourrais t’y attendre. »
- Mais alors, puisque tout semble déterminé, pourquoi priez-vous ?
« Parce qu’on peut tout corriger, tout modifier au fur et à mesure. Vous pouvez tout réparer aussi. Il faut demander à Dieu car on obtient toujours ce dont on a besoin, mais pas toujours ce que l’on veut. »
« Je concentrais toutes mes pensées pour que mon fils reçût l’énergie nécessaire à vaincre la maladie. Pourtant je ne succombai pas à la tentation de prier Dieu de me laisser l’enfant. « Les choses ne sont jamais mauvaises par elles-mêmes, tout dépend de la manière dont tu y penses » a dit Épictète. De mon point de vue personnel, c’eût été une catastrophe de perdre l’enfant. Mais je ne devais pas demander des choses subjectives et personnelles à la plus haute puissance, au Créateur, car Il savait ce qui était juste et pourquoi. Et l’enfant ? Pour lui aussi, le mieux était que la volonté divine s’accomplît, quelle qu’elle fût. Je restai avec mon petit garçon dans les bras, mon petit « je » humain-maternel tremblant pour la vie de l’enfant.
(...) Mon fils en sortira-t-il vivant ? (siège de la ville à Budapest) Nous reverrons-nous encore dans cette vie ? C’est un très grand point d’interrogation… Pourtant, cela ne doit pas me faire souffrir. De ce jeune homme que, pour lui permettre de se réincarner, j’ai porté dans mon cœur et qui, maintenant est mon fils et que j’aime en Dieu !
(…) Tout passe sauf l’amour véritable. Nous ne pouvons nous perdre l’un l’autre ! Nous devrons tous, une fois ou l’autre, quitter le corps. Dans cent ans, cela ne sera plus important de savoir qui est parti plus tôt ou plus tard.
(…) J’étais éperdue de reconnaissance. Dans ce cas, mon désir et la volonté de Dieu avaient été identiques : Il m’avait rendu mon enfant. »
« Si vous êtes dans la confiance qu'il n'y a pas à s'inquiéter malgré les dangers supposés, les inquiétudes économiques ou familiales, alors tout s'organise selon le bon Plan.
Cette l'apaisement des doutes et des peurs, au profit de la conscience que le chemin n'est ni vain ni solitaire. »
« Cueillez les modestes douceurs de la terre avec reconnaissance : vivez comme vous devez vivre pendant votre exil (pour l’âme, la terre est un exil). Il doit servir à vous apprendre l’effort et la persévérance, qui sont la base de toute évolution. »