j'aperçois alors des personnes qui se recueillent devant le cercueil.
N’émergent de l’ombre que le visage pâle d’une jeune femme, les manchettes et le col blanc de trois hommes. Il ne m'en faut pourtant pas davantage pour savoir qu’il y a là… mes enfants. Mais mes yeux reviennent aussitôt sur ce corps d’où la vie s’est retirée, et qui me plonge dans la plus insondable perplexité. Tandis que je le regarde – que je me regarde –, une idée stupide s’impose à moi : «