Témoignage personnel de Jeannine Van Camp, auteur de
"Tu leur diras (Mes contacts avec le monde de Lumière)" :
« Je me sentis fatiguée, et je devenais si irascible qu’un jour ma fille s’exclama : «
Maman, ce n’est pas toi ! ».
En visite chez des amis, j’eus brusquement envie de boire, moi qui ne supporte pas l’alcool d’ordinaire. Mon besoin fut tel que je me permis de chercher en leur absence une bouteille dans placards et buffets ! Un autre jour je fus prise d’une furieuse envie de fumer, une envie incoercible. Après avoir, précipitamment, acheté un paquet de cigarette et un briquet, je me mis à fumer, en pleine rue, à 72 ans. Ce n’était ni désagréable, ni bon, mais le désir était plus fort que mes goûts. Depuis, plusieurs fois par jour j’allais fumer sur le balcon. Lors d’un déplacement, à peine arrivée à destination, j’achetai une bouteille de Porto. Goulûment, j’en ai bu la moitié, sans ressentir aucune gêne, aucun étourdissement ! Et aucun mal de tête le lendemain. Les jours passant, je me sentis de plus en plus lasse. Mes envies de boire et de fumer s’atténuaient, cependant j’étais exténuée, le moindre effort me coûtant. Je ne pouvant plus prier. À chaque essai, des insultes et des ordures jaillissaient de ma bouche à l’encontre de Dieu.
J’ai fini par contacter une amie, et j’appris alors que c’était un jeune homme qui me hantait. Suite à des problèmes familiaux, il s’était mis à boire et à fumer inconsidérément. Devenu méchant, irascible, il en voulait à la terre entière, et par désespoir il s’est suicidé. Il se sentait seul, terriblement seul, enfermé comme dans le noir et avait peur du vide. Il pensait que j’étais une bonne mère, désirait rester accroché à moi. Mon amie a pu le convaincre, malgré ses réticences, de lâcher sa peur, qu’il n’était pas seul, qu’il lui fallait aller vers la Lumière. Elle lui affirma qu’il avait la possibilité d’appeler certains disparus de sa famille. Ils étaient déjà là mais sa peur l’en séparait. Mon amie me précisa qu’il pleurait et ne voulait pas me faire du mal. Peu après cette séance je pus prier de nouveau. »
( Jeannine Van Camp, 'Tu leur diras' )
« Exemples typiques de phrases employées par l'hypnothérapeute pour s'adresser à l'âme d'un défunt ayant pris possession d'un vivant :
– Es-tu une vraie partie de cette personne ? As-tu été invité à rentrer ? L'as-tu envahie, ou bien as-tu été créée ? As-tu déjà eu ton propre corps physique ? Rappelle-toi le dernier moment où tu étais dans ton propre corps et dis-moi ce qui est en train d'arriver
– Tu n'es pas... (nom du possédé)
– Ton corps est mort
– Tu t'es attaché à... (nom du possédé)
– Tu te fais du mal ainsi qu'à... (nom du possédé)
– Tes proches défunts qui t'aiment sont là
– Prends la main qui est venue t'escorter et pars avec cet être
– Tu vas te retrouver dans un corps parfait
– L'enfer n'existe pas
– Tu vas avoir une vie magnifique, paisible
– Va en paix avec ma bénédiction
»
( Dr Olivier Chambon, psychiatre,
"Expériences extraordinaires autour de la mort" )
« On recours au sauvetage d'esprits lorsqu'une personne vient de mourir, en général de façon violente, et refuse d'accepter son nouvel état. Certains médiums y consacrent tout leur temps et toute leur énergie. »
[ Rosemary Altea, "Une longue échelle vers le ciel" ]
S'en défendre