La vie peut longtemps être supportable ou tranquille.
Jusqu'au moment où elle place l'âme face à l'épreuve.
Celle que depuis un autre plan elle a désiré repasser, car maintes fois échouée.
« Les murs sont gris, le temps est triste et on est seul malgré la foule, sans projets, sans soutien, sans foi. Tout s’écroule autour, ce sur quoi on s’appuyait, ce qui paraissait solide.
On maudit Dieu, et la vie, et les autres.
C’est le fond du gouffre, le bout du rouleau, là
où l’on sent confusément qu’il faut détruire quelque chose. Alors, selon le tempérament, on veut détruire chez les autres, ou on se détruit soi-même.
C’est la vie.
Ou du moins, un tournant.
Et si…
Si le chemin que vous avez pris n’était qu’un cul de sac, et que vos entités accompagnatrices ( guides, anges-gardiens... ) en aient pris conscience, que peuvent-elles faire?
Qui êtes-vous ? Avez-vous la capacité de faire machine arrière, êtes-vous assez solide pour changer de cap, possédez-vous l'humilité nécessaire, avez-vous le courage de tout remettre en question ?
Qui accusez-vous? Les autres, Dieu, le destin ou vous-même ?
Car tout dépend de cette analyse. Si bloqué par l’orgueil, vous ne pouvez vous en prendre qu’aux autres, votre désespoir est tragique. Vous nuirez à autrui ou vous vous suiciderez. Vous êtes dans la position d'un navire hors d'état de manœuvrer qui ne peut que couler ou se fracasser contre les récifs. Et personne ne peut vous aider, puisque l’autre, c’est l’ennemi.
Mais si, après avoir fait tout ce que vous pouviez, vous parvenez à vous oublier, à vous abandonner, les entités qui vous aiment peuvent alors agir. Débarrassé de l'inertie de vos fausses certitudes, vous devenez manœuvrable. »
« Nous sommes dans un grand magasin de Rio de Janeiro (décrit la médium). Sur un escalator qui mène à la sortie, une femme d’une cinquantaine d’années porte un lourd panier à provisions qui tire sur son bras et son épaule.
Je perçois ses pensées avec une netteté inouïe : « Il faut que je me presse sinon Juan sera là avant moi et comme d’habitude ce sera des cris et des coups. J’en ai assez de lui servir des repas qu’il me jette à la figure. D’ailleurs je me dégoûte, je n’ai pas le courage de partir car je ne sais pas où aller, je suis une lâche. Par moments, j’ai envie qu’il me retrouve morte, là sur le carrelage de la cuisine, il verra ce que c’est la vie sans moi et puis ça lui fera sûrement des tracas avec la police, il le mérite bien. »
Tout absorbée dans ses réflexions amères, la femme continue sa route sans s’apercevoir qu’une silhouette de lumière est auprès d’elle depuis le début de son monologue intérieur. À l’arrêt du bus, elle pose son lourd paquet en essuyant la sueur qui perle sur son front.
La silhouette de lumière lui touche affectueusement le bras et murmure dans un souffle :
« Regarde comme la mer devant toi est belle, regarde autour de toi la vie qui continue. Tu n’es ni trop âgée ni trop malade. Tu es encore capable de changer ta vie… il est encore temps d’agir. »
Soudain la femme laisse là son pesant panier et s'éloigne de l’abri-bus d’un pas ferme. Son monologue se poursuit mais le ton est tout autre :
« Je viens d’avoir une idée ! Je vais passer quelques jours chez Samira, mon amie de toujours, et là je
vais y voir plus clair. Après tout je ne suis pas si mal ; autrefois les hommes me courtisaient beaucoup, songe-t-elle en souriant.
Je vais chercher un travail et m’occuper de moi. Seuls les enfants sauront où je me trouve. Ils sont grands
et autonomes... »
✩ ✩
« Ce que tu viens de voir (souffle le guide à l'oreille de la médium) n’a rien d’une exception, nous sommes nombreux à agir de la sorte.
« Chacun des êtres qui s’incarne sur terre a un guide ou plusieurs selon les circonstances de sa vie.
Mais dans les moments particulièrement difficiles, des êtres, dont la “mission” est plus spécifiquement axée sur l’aide et la transmission de pensées lumineuses, entrent dans l’aura de ceux qui ne voient pas la fin du tunnel.
Nous accompagnons ces personnes le temps qu’un changement s’opère en eux, le temps que nous puissions toucher et éveiller la beauté et le cristal de leur propre cœur.
Elles n’ont souvent aucune idée de la lumière qui est en eux et de leur capacité à résoudre leurs propres histoires. Ils se sentent perdus ou au bout du rouleau, comme on le dit sur terre, parce qu’ils ont simplement oublié ce qu’ils sont : des êtres de Lumière qui expérimentent la matièreExtrait de la page : "Se reprendre" :
Chaque être est relié à son Soi intérieur, lequel est relié à Dieu.
Notre être profond
« En vous il y a deux personnages, l’un terrestre, collé à la matière, englué dans ses lourdeurs, et l’autre céleste, se laissant porter par la lumière. Au moment où vous concevez vos deux pôles, vous devenez avides d’unité et entamez votre quête de pureté. Mais c’est là aussi que les ennuis commencent ! Dans l’innocence de l’inconscience, vous trouviez une certaine tranquillité, en fonctionnant suivant les mêmes schémas depuis des générations, aptes à goûter les plaisirs de la chair.
Cependant, dès lors que votre conscience s’ouvre à une lucidité plus grande, votre soif de clarté se trouve confrontée aux ombres.
En proie à un désespoir existentiel, votre mental vous joue alors de tours monumentaux. Vous devenez la proie du chagrin, des doutes terribles, de la solitude et de votre impatience.
Nous sommes avec vous plus que jamais dans ces errances. Car alors nous reconnaissons en vous la flamme, le feu intérieur.
Alors commence un dialogue intérieur entre votre âme, qui nous a déjà reconnus, et nous qui sommes vos serviteurs, vos compagnons de route. À vos côtés, prêts à vous soutenir dans les passages difficiles, souriants à vos balbutiements d’enfant de lumière.
En votre for intérieur, ego de terre et âme de lumière se manifestent l’un à l’autre et se montrent à tour de rôle. Rien ne sert de les ajuster d’une main de maître, rien ne sert de souhaiter leur amitié féconde. Leur rôle n’est pas de s’évincer. Ainsi vous grandissez, en faisant en vous l’union de votre part d’homme incarné et votre part d’éclat de lumière. C’est là, dans l’axe équilibré entre ces deux aspects de vous-même, que vous touchez la nouvelle dimension qui vous permet de Sur-vivre (parmi les tourments terrestres). Alors votre personnalité de lumière irrigue votre être incarné dans la matière pour un enfantement heureux : celui de l'Homme nouveau en vous, reflet incarné du Père Créateur. »
suite..., chacun selon son histoire de vie.
Mais parfois nous ne pouvons pas pénétrer une aura car l’être ne laisse aucune porte d’entrée. Cela arrive lorsque le mental de la personne, trop important, lui fait croire qu’il faut agir de telle et telle façon.
L’être se croit alors seul, tandis que nous n’attendons qu’un peu de détente de sa part pour lui venir en aide.
D’autres êtres qui émettent sans cesse des pensées sombres et pesantes s’entourent d’un nuage opaque difficile à traverser, et là encore, nous ne pouvons qu'attendre que ses guides et les circonstances de sa vie aient commencé à fissurer cette coquille. Alors nous intervenons. Juste un coup de pouce !
Comme sur terre, il arrive que notre présence soit sans conséquence quant au résultat attendu. Les enseignants nous apprennent alors à accepter avec humilité que l’itinéraire de cet être soit ainsi et que sa vie se complique encore un peu plus.
Dis simplement aux humains de la Terre que jamais, au grand jamais ils ne sont seuls. S'ils s’enferment dans un nuage de solitude, qu’ils sachent qu’autour d’eux, des êtres qu’ils ne voient pas, qu’ils n’entendent pas, les aident et les aiment. »
« La solitude, elle ne se voit pas forcément de l'extérieur. Tu peux avoir plein de gens autour de toi, ça n'empêche ! Tant que t'as pas Dieu dans le dedans de toi, tu es comme une coquille vide, tu es seul.
« Le problème est que les gens ne croient plus en Dieu. Ils ne croient plus qu'en eux, alors ils font leur petite volonté, et bien sûr, ça ne marche pas, ou pas longtemps. Alors, ils disent que la vie est mal faite, et restent dans leur coin. Alors là, vous savez, Dieu n'insiste pas. Il sait pousser la porte si vous la laissez ouverte, ou même un peu entrebâillée, ou même fermée et qu'Il voit de la lumière qui passe par-dessous. Mais si vous fermez votre cœur et que vous restez dans le noir, eh bien Il forcera pas la serrure. Car Il laisse l'homme libre de choisir. »
Tu es dans le noir ; laisse-moi en profiter pour te montrer un chemin que les miroitements de la vie te masquent d'ordinaire.
La tristesse
« Le Christ n’a-t-il pas dit au Jardin des Oliviers : « Je suis triste à mourir », et il eu plus encore : il eut les clous et la croix ; cesse de te plaindre !
Ne demande pas la suppression de ta peine, demande seulement la grâce de la métamorphoser. »
« Les jours de misère et d’épouvante, les jours décolorés, perdus au fond de l’abîme. Périodes d’angoisse où l’on existe séparé de son âme.
La période où le chagrin exclut toute la vie est une des périodes les plus favorables à la communication avec l’au-delà.
Toute manifestation est possible. La seule préoccupation du sujet doit être l’observance d’un grand recueillement ; il doit être attentif, rien de plus.
Forge-toi jour après jour au feu de ta peine. »
La pensée est matière,
Extrait de la page : "La pensée" :
La pensée a sa propre énergie
« Certaines manières d'être intérieures déclenchent certains faits, ce qui revient à dire que la pensée est capable d'influer sur les circonstances. La pensée, cette chose invisible, indéfinissable, peut avoir des projections assez puissantes pour animer la matière. »
« Votre pensée est créatrice. Lorsque vous émettez un souhait, si vous vous impliquez dans votre pensée, celui-ci peut très vite prendre forme s'il est basé sur une réalisation d'amour. »
pesante, chancelante, aveugle,
qui attire vers le bas.
Elle est serpent
qui mord sa propre queue. « Errant indéfiniment dans une ronde sans espoir, tournant dans le même cercle clos prisonnière du monde où la pensée nous domine. »
« Vois la fleur en train de mourir et tu verras la fleur d’un regard triste. Mais considère-la comme une partie de tout un arbre en train de changer, et qui portera bientôt ses fruits, et tu verras la fleur dans sa véritable beauté.
Rappelle-toi toujours que tu n’es pas la fleur, que tu n’es même pas le fruit. Tu es l’arbre. »
Un sentiment pernicieux accompagne et exacerbe toute situation douloureuse : l'affolante conviction que notre souffrance est enlisée dans le temps, qu'elle ne cessera jamais (et pourtant, on le sait, tout passe !).
« Ô temps, tu n’existes que par rapport à l’homme malheureux.
Dans le bonheur, il n’y a pas de temps : la conscience est calme, le concept du temps disparait.
Dans la souffrance et les tourments insupportables, le temps se fige !
Le bonheur est l’éternité sans temps et le contraire, le malheur est le temps sans fin, l’infinité. »
« (...) Pendant cette phase de repos nous comprenons que ceux que nous aimons nous rejoindront à la fin de leur temps terrestre; qui n'est qu'une expérience de quelques années dans le flot de l'éternité...
C'est fou comme cette notion de temps empoisonne la vie des êtres humains, alors que d'ici, une vie terrestre semble passer comme une étoile filante. »
Seule, aveugle, percluse de douleurs et incapable de comprendre, la chenille macère dans sa chrysalide et dans le temps. Sa souffrance est bien inutile, songe-t-elle et son interminable attente bien stérile...
La solitude
Quand l'affection, la présence des autres vous manque, que vous vous sentez abandonnés, descendez en vous-même. Allez à la rencontre de votre âmeExtrait de la page : "Se reprendre" :
Chaque être est relié à son Soi intérieur, lequel est relié à Dieu.
Notre être profond
« En vous il y a deux personnages, l’un terrestre, collé à la matière, englué dans ses lourdeurs, et l’autre céleste, se laissant porter par la lumière. Au moment où vous concevez vos deux pôles, vous devenez avides d’unité et entamez votre quête de pureté. Mais c’est là aussi que les ennuis commencent ! Dans l’innocence de l’inconscience, vous trouviez une certaine tranquillité, en fonctionnant suivant les mêmes schémas depuis des générations, aptes à goûter les plaisirs de la chair.
Cependant, dès lors que votre conscience s’ouvre à une lucidité plus grande, votre soif de clarté se trouve confrontée aux ombres.
En proie à un désespoir existentiel, votre mental vous joue alors de tours monumentaux. Vous devenez la proie du chagrin, des doutes terribles, de la solitude et de votre impatience.
Nous sommes avec vous plus que jamais dans ces errances. Car alors nous reconnaissons en vous la flamme, le feu intérieur.
Alors commence un dialogue intérieur entre votre âme, qui nous a déjà reconnus, et nous qui sommes vos serviteurs, vos compagnons de route. À vos côtés, prêts à vous soutenir dans les passages difficiles, souriants à vos balbutiements d’enfant de lumière.
En votre for intérieur, ego de terre et âme de lumière se manifestent l’un à l’autre et se montrent à tour de rôle. Rien ne sert de les ajuster d’une main de maître, rien ne sert de souhaiter leur amitié féconde. Leur rôle n’est pas de s’évincer. Ainsi vous grandissez, en faisant en vous l’union de votre part d’homme incarné et votre part d’éclat de lumière. C’est là, dans l’axe équilibré entre ces deux aspects de vous-même, que vous touchez la nouvelle dimension qui vous permet de Sur-vivre (parmi les tourments terrestres). Alors votre personnalité de lumière irrigue votre être incarné dans la matière pour un enfantement heureux : celui de l'Homme nouveau en vous, reflet incarné du Père Créateur. »
suite.... Là, se trouve l' Amour véritable et total. « Si tu es désespéré, ne cherche nulle part qu’en toi-même la consolation. L’homme n’est jamais moins seul que lorsqu’il est un. »(uni à sa Source
Extrait de la page : "Pourquoi la vie" :
Notre âme est reliée à toutes les autres et ne fait qu'un avec Dieu.
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L'âme humaine
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« L'âme humaine est une parcelle de la grande âme du monde, une étincelle de l’esprit divin. Sa mystérieuse éclosion remonte aux origines de la matière organisée. Elle a dû traverser tous les règnes de la nature, toute l’échelle des êtres en se développant par d’innombrables existences. Force aveugle dans le minéral, individualisée dans la plante, polarisée dans la sensibilité et l’instinct des animaux, elle tend vers la conscience.
L’élément animique et spirituel existe donc dans tous les règnes, quoique seulement à l’état de quantité infinitésimale dans les règnes inférieurs. »
« Il n’y a qu’une seule âme : l’âme universelle, qui est, comme la vie, un attribut du Cosmique. Tout vit et tout a une âme du point de vue cosmique ; cela ne signifie pas que tout a une conscience. Les végétaux connaissent une forme embryonnaire de conscience. Certaines plantes « aiment » ceux qui s’occupent d’elles. »
Sur un terrain poussent des ronces, des fleurs, des arbres... Tous s'ignorent, s'évitent ou se concurrencent.
Pourtant la terre les unit en son sein.
suite...)
Les lumières éblouissent, le bruit assourdit.
C'est dans le noir qu'on voit, c'est dans le silence qu'on entend.
« Personne au monde n'est abandonné un seul instant. Jamais. » (affirme son Guide à la médium)
- J’aime cette idée-là… Il y a tellement de gens qui sont dans la solitude. S’ils savaient que des êtres merveilleux sont près d’eux à toute heure du jour et de la nuit… Malheureusement, comment le leur faire savoir...
« Comme vous êtes durs à comprendre, aveugles et sourds à ce qui n’est pas tonitruant ! Si vous saviez vous mettre à l’écoute de votre vie, combien vos vies seraient plus faciles ! Tant de signes ténus jalonnent le chemin.
Cette voix si fine, presque inaudible, est la brise de votre conscience. Dans l’opacité de vos misères, dans la noirceur de la dépression la plus féroce, vous pouvez trouver cette douceur tendre qui vous susurre : "Aie confiance ! Tu n’es pas seul." »
« J’étais seule avec ma mission, sans guide pour me conseiller, comme doivent rester seuls tous ceux qui veulent devenir des collaborateurs indépendants et dignes de confiance pour travailler à la grande œuvre. Très rarement, seulement lorsque je me suis retrouvée à un tournant de mon existence, j’ai pu profiter d’une assistance et de quelques indications émanant des forces supérieures. Quant à mes propres problèmes, j’ai toujours dû les résoudre seule. »
« La solitude offre à l'homme intellectuellement haut placé un double avantage : le premier, d'être avec soi-même, et le second de n'être pas avec les autres. »
Si la tristesse ronge ton coeur, imprègne-toi de ces lignes
« Ton état de torpeur actuel est une gestation, c’est une couche qui meurt pour qu’une autre apparaisse.
Les grandes crises de désespoir sont le plus souvent des périodes de germination. Tout éclot dans la souffrance. »
« Si tel litige te déchire, laisse croître, tu mues. Bienheureux ton déchirement qui te fait t’accoucher de toi-même : car aucune vérité ne s’atteint dans l’évidence.
(...) Quiconque mue connaît la tristesse et l’angoisse. Tout en lui se fait inutile. Quiconque mue n’est que cimetière et regrets.
Toute ascension est douloureuse. Toute mue est souffrance. »
Notre âme vient en quelque sorte faire ses preuves sur terre, éprouver le plus d'expériences possibles le temps d'une vie (amour, injustice, trahison, richesse...).
Sa partie subtile, éthérée, demeure, mais à bonne distance de notre inconscient lorsqu'il est agité, perturbé ou sombre. D'où l'importance de la méditation et de la phase veille-sommeil pour s'en rapprocher.
« Le mystique en moi sait qu'il doit sombrer pour se voir et se reconnaitre ; il doit toucher le fond du gouffre pour aspirer aux cimes. Le moi se dissout avant de s'accomplir. »
Les messages suivants s'adressent à ceux qui se croient inutiles et convaincus de n'être aimés de personne.
« Je commençais à comprendre, pendant ma NDE, que tout ce qui est, est littéralement le Soi, votre Soi, mon Soi Extrait de la page : "Se reprendre" :
Chaque être est relié à son Soi intérieur, lequel est relié à Dieu.
Notre être profond
« En vous il y a deux personnages, l’un terrestre, collé à la matière, englué dans ses lourdeurs, et l’autre céleste, se laissant porter par la lumière. Au moment où vous concevez vos deux pôles, vous devenez avides d’unité et entamez votre quête de pureté. Mais c’est là aussi que les ennuis commencent ! Dans l’innocence de l’inconscience, vous trouviez une certaine tranquillité, en fonctionnant suivant les mêmes schémas depuis des générations. Cependant, dès lors que votre conscience s’ouvre à une lucidité plus grande, votre soif de clarté se trouve confrontée aux ombres. En proie à un désespoir existentiel vous devenez la proie du chagrin, des doutes, de la solitude. Nous sommes avec vous plus que jamais dans ces errances. Car alors nous reconnaissons en vous la flamme, le feu intérieur.
Alors commence un dialogue intérieur entre votre âme, qui nous a déjà reconnus, et nous qui sommes vos serviteurs, vos compagnons de route. À vos côtés, prêts à vous soutenir dans les passages difficiles, souriants à vos balbutiements d’enfant de lumière.
En votre for intérieur, ego de terre et âme de lumière se manifestent l’un à l’autre et se montrent à tour de rôle. Rien ne sert de les ajuster d’une main de maître, rien ne sert de souhaiter leur amitié féconde. Leur rôle n’est pas de s’évincer. Ainsi vous grandissez, en faisant en vous l’union de votre part d’homme incarné et votre part d’éclat de lumière. C’est là, dans l’axe équilibré entre ces deux aspects de vous-même, que vous touchez la nouvelle dimension. Vous devenez ce que vous êtes depuis l’origine des temps, miroir sacré, reflet incarné du Père Créateur. »
suite.... Tout est le Grand Soi. C’est pourquoi Dieu sait même quand une feuille tombe. C’est possible parce que, où que vous soyez, c’est le centre de l’Univers. Où que soit chaque atome, c’est le centre de l’Univers. Là est Dieu, et Dieu est dans ce Vide. »
☞ Suite du témoignage de Mellen-Thomas Benedict. « L’objectif du processus (de solitude et de souffrance) est que tu te découvres, que tu crées ton Soi (être intérieur)
Extrait de la page : "Se reprendre" :
« La touche finale qui souligne votre personnalité », « Faites ressortir votre personnalité »... C'est l'opposé de la Voie ! La course joyeuse vers l'esclavage. L'empire de la publicité, de la mode, des romans, des journaux, 90% des conversations, sont un poison qui nous tue, qui vous tue, en ne nous parlant que de vivre sa vie. »
« Élève-toi et libère-toi maintenant et à jamais de la dictature de ta personnalité, empesée de son mental et de son intellect, gonflés d'orgueil et d'autosatisfaction.
Car dorénavant, ton mental doit être Ton serviteur et l'intellect Ton esclave. »
- N’est-il pas extraordinaire qu’un monde de matière puisse attirer une âme qui a connu un univers à sa mesure ? où le beau et le bon règne ? « Bien qu’il soit actif en ces lieux, un corps astral y apprend moins qu’au travers d’une enveloppe de chair. Aussi le désir de réincarnation est à un moment un véritable besoin. Quiconque n’aurait pas assimilé tous les enseignements qu’apporte la chair se sent irrésistiblement attiré vers elle comme un aimant, tôt ou tard.
Une entité se réincarne lorsque insensiblement elle perd la joie de vivre dans ce monde. Elle connait une sorte de sommeil éveillé et est alors prise en charge par les entités qui œuvrent ici et dirigée vers sa nouvelle destination. »
suite..., la Terre est pour elle un lieu d'exil. Aussi, dans les moments de souffrance ou de solitude, elle soupire après le monde qu'elle a laissé, et dont elle seule a le souvenir.
Voilà pourquoi la dépression, c'est un peu la
Nostalgie du Ciel
« Ton drame est de rêver d’amour dans un climat de glace.
(...) La vie des inspirés est en complète divergence avec ce qui les entoure. Ce déséquilibre est l’enfer terrestre. »
« Beaucoup de vieilles âmes
Extrait de la page : "Pourquoi la vie" :
La progression de l'âme humaine
Chaque âme part du bas de l'échelle. De l'instinct à la conscience, elle s'élève. De l’assouvissement de ses envies au bonheur de donner, elle s'élève. Et le chemin est long et jalonné de souffrance.
« Si des esprits divers conçoivent des vérités aussi diverses, c’est que l’évolution n’est pas la même chez tous. »
« L'Esprit, comme l'homme, a aussi son enfance. À leur origine, les Esprits n'ont qu'une existence instinctive et ont à peine conscience d'eux-mêmes et de leurs actes. »
« Si vous ne vous sentez pas prêt à pardonner les actions de quelqu’un, au moins pardonnez à la personne. ( Dites-vous que sa conscience encore animale, n’est pas éveillée, mais que son âme n’en n’est pas moins un reflet de Dieu ) »
éprouvent une grande lassitude de vivre. Lorsqu'elles commencent à s'éveiller sur le plan spirituel, elles retrouvent des impressions d'"entredeux-vies", et se souviennent qu'elles ont connu des mondes meilleurs. Des hommes et des femmes de grande qualité m'ont dit : "La réincarnation ? Horreur ! Je ne veux pas revenir sur cette planète !"
"Ras le bol" caractéristique de ceux qui ont vécu déjà un grand nombre de vies terrestres. Oui, mais tant qu'il leur reste une leçon à apprendre... »
« Chaque être est citoyen de deux mondes, celui du temps et celui de l’éternité. Paradoxalement nous sommes dans le monde et cependant nous ne sommes pas du monde.
(...) Chacun de nous vit sur deux plans, l’intérieur et l’extérieur. »
« Vous êtes des esprits incarnés faisant l'expérience de la matière pour le temps d'une vie terrestre. Vous n'appartenez pas à ce monde mais au monde de l'esprit. »
« Toute ta vie tu crois être ton corps. À certains moments tu crois être ton esprit. C’est au moment de ta mort que tu découvres Qui Tu Es VraimentExtrait de la page : "Se reprendre" :
Chaque être est relié à son Soi intérieur, lequel est relié à Dieu.
Notre être profond
« En vous il y a deux personnages, l’un terrestre, collé à la matière, englué dans ses lourdeurs, et l’autre céleste, se laissant porter par la lumière. Au moment où vous concevez vos deux pôles, vous devenez avides d’unité et entamez votre quête de pureté. Mais c’est là aussi que les ennuis commencent ! Dans l’innocence de l’inconscience, vous trouviez une certaine tranquillité, en fonctionnant suivant les mêmes schémas depuis des générations, aptes à goûter les plaisirs de la chair.
Cependant, dès lors que votre conscience s’ouvre à une lucidité plus grande, votre soif de clarté se trouve confrontée aux ombres.
En proie à un désespoir existentiel, votre mental vous joue alors de tours monumentaux. Vous devenez la proie du chagrin, des doutes terribles, de la solitude et de votre impatience.
Nous sommes avec vous plus que jamais dans ces errances. Car alors nous reconnaissons en vous la flamme, le feu intérieur.
Alors commence un dialogue intérieur entre votre âme, qui nous a déjà reconnus, et nous qui sommes vos serviteurs, vos compagnons de route. À vos côtés, prêts à vous soutenir dans les passages difficiles, souriants à vos balbutiements d’enfant de lumière.
En votre for intérieur, ego de terre et âme de lumière se manifestent l’un à l’autre et se montrent à tour de rôle. Rien ne sert de les ajuster d’une main de maître, rien ne sert de souhaiter leur amitié féconde. Leur rôle n’est pas de s’évincer. Ainsi vous grandissez, en faisant en vous l’union de votre part d’homme incarné et votre part d’éclat de lumière. C’est là, dans l’axe équilibré entre ces deux aspects de vous-même, que vous touchez la nouvelle dimension qui vous permet de Sur-vivre (parmi les tourments terrestres). Alors votre personnalité de lumière irrigue votre être incarné dans la matière pour un enfantement heureux : celui de l'Homme nouveau en vous, reflet incarné du Père Créateur. »
La pomme un peu meurtrie, ou elle devient plus douce que les autres – ou elle pourrit.[ "Dialogues avec l’Ange" ]
Comment vivre parmi les vivants
« Si vous voulez repousser les gens, parlez-leur de vos malheurs, de vos maladies, de vos chagrins ; ils n’auront qu’une envie, au lieu de vous écouter, c’est de déguerpir. »
Quand nous sombrons dans l'amertume, nos proches ne peuvent pas véritablement nous aider. Tout simplement parce qu'ils ne savent pas quoi dire ou faire. De plus, tel un gouffre noir, une aura négative éloigne instinctivement, ou rend difficile tout élan chaleureux.
« Je portais en moi mon désespoir sans le montrer, sans en parler. Une chose m'était claire : si je parlais constamment de mon mal à mon entourage, cela ne manquerait pas de le démoraliser et de le faire souffrir. Et comme l'être humain tente instinctivement de se débarrasser de ce qui lui est désagréable et le fait souffrir, les gens se seraient inconsciemment éloignés de moi. »
« Lorsque toutes ses propres raisons d’être se trouvent anéanties par la fatalité d’un destin implacable, lorsque la malchance tenace vous condamne à une existence hors de la ligne idéale entrevue, si vous vivez cette épreuve en Dieu, la reviviscence est totale. »
« Je peux vous assurer que l'expérience la plus impétueuse que peut faire l'humain est son passage dans un milieu tributaire du mal, et que lorsqu'il détient le pouvoir du bien et qu'il le maintient, son évolution est foudroyante. »
« Je pense que la mise à l'épreuve ultime d'un homme n'est pas là où il se tient dans les moments de bien-être, mais là où il se tient dans les moments de difficulté et d'adversité. »
« C’est lorsque les choses vont le plus mal que tu oublies Qui Tu Es (un esprit avant d'être un corps). C’est le moment, plus que jamais, d’entrer dans ton espace divinExtrait de la page : "Se reprendre" :
Chaque être est relié à son Soi intérieur, lequel est relié à Dieu.
Notre être profond
« En vous il y a deux personnages, l’un terrestre, collé à la matière, englué dans ses lourdeurs, et l’autre céleste, se laissant porter par la lumière. Au moment où vous concevez vos deux pôles, vous devenez avides d’unité et entamez votre quête de pureté. Mais c’est là aussi que les ennuis commencent ! Dans l’innocence de l’inconscience, vous trouviez une certaine tranquillité, en fonctionnant suivant les mêmes schémas depuis des générations, aptes à goûter les plaisirs de la chair.
Cependant, dès lors que votre conscience s’ouvre à une lucidité plus grande, votre soif de clarté se trouve confrontée aux ombres.
En proie à un désespoir existentiel, votre mental vous joue alors de tours monumentaux. Vous devenez la proie du chagrin, des doutes terribles, de la solitude et de votre impatience.
Nous sommes avec vous plus que jamais dans ces errances. Car alors nous reconnaissons en vous la flamme, le feu intérieur.
Alors commence un dialogue intérieur entre votre âme, qui nous a déjà reconnus, et nous qui sommes vos serviteurs, vos compagnons de route. À vos côtés, prêts à vous soutenir dans les passages difficiles, souriants à vos balbutiements d’enfant de lumière.
En votre for intérieur, ego de terre et âme de lumière se manifestent l’un à l’autre et se montrent à tour de rôle. Rien ne sert de les ajuster d’une main de maître, rien ne sert de souhaiter leur amitié féconde. Leur rôle n’est pas de s’évincer. Ainsi vous grandissez, en faisant en vous l’union de votre part d’homme incarné et votre part d’éclat de lumière. C’est là, dans l’axe équilibré entre ces deux aspects de vous-même, que vous touchez la nouvelle dimension qui vous permet de Sur-vivre (parmi les tourments terrestres). Alors votre personnalité de lumière irrigue votre être incarné dans la matière pour un enfantement heureux : celui de l'Homme nouveau en vous, reflet incarné du Père Créateur. »
suite.... D'abord, cela va t’apporter une grande paix intérieure. Et d’un esprit paisible naissent de grandes idées, des solutions aux problèmes que tu penses avoir. Dans ton espace divin, tu sauras et comprendras que tout ce dont tu fais maintenant l’expérience, est temporaire. »
Quand une épreuve nous broie, quand nos valeurs, nos espoirs s'effondrent,
c'est que nous entamons une épreuve programmée
Extrait de la page : "La réincarnation" :
Décision, plan de vie
- Comment et quand sont définis les buts spirituels que nous devons atteindre ? « Vous vivez tous une période plus ou moins longue d'errance dans le monde spirituel entre deux incarnations. Elle est relative à vos efforts de progresser. Quand votre degré d'évolution vous le permet, vous choisissez les grandes lignes de votre prochaine vie sur terre, avec l'approbation de vos guides. Un plan de vie s'établit, avec le choix de votre famille et son milieu social, vos lignes professionnelles, sentimentales, amicales, matérielles et financières, ainsi que votre santé.
Une partie des expériences de vie est déterminée à l'avance en fonction de vos acquis ou faiblesses des vies passées. Elles deviendront des évènements incontournables, mettant en avant les principales faiblesses à éliminer. Néanmoins, la majorité de vos expériences se révéleront par le libre choix de vos attitudes et comportement. »
« Je me suis aperçue que chaque fois que ma vie semble jetée à tous vents, que je me sens perdue et désemparée, c'est que j'ai perdu ma propre identité. Je ne suis plus reliée à ce que je suis vraimentExtrait de la page : "Se reprendre" :
Chaque être est relié à son Soi intérieur, lequel est relié à Dieu.
« En vous il y a deux personnages, l’un terrestre, collé à la matière, englué dans ses lourdeurs, et l’autre céleste, se laissant porter par la lumière. Au moment où vous concevez vos deux pôles, vous devenez avides d’unité et entamez votre quête de pureté. Mais c’est là aussi que les ennuis commencent ! Dans l’innocence de l’inconscience, vous trouviez une certaine tranquillité, en fonctionnant suivant les mêmes schémas depuis des générations, aptes à goûter les plaisirs de la chair.
Cependant, dès lors que votre conscience s’ouvre à une lucidité plus grande, votre soif de clarté se trouve confrontée aux ombres.
En proie à un désespoir existentiel, votre mental vous joue alors de tours monumentaux. Vous devenez la proie du chagrin, des doutes terribles, de la solitude et de votre impatience.
Nous sommes avec vous plus que jamais dans ces errances. Car alors nous reconnaissons en vous la flamme, le feu intérieur.
Alors commence un dialogue intérieur entre votre âme, qui nous a déjà reconnus, et nous qui sommes vos serviteurs, vos compagnons de route. À vos côtés, prêts à vous soutenir dans les passages difficiles, souriants à vos balbutiements d’enfant de lumière.
En votre for intérieur, ego de terre et âme de lumière se manifestent l’un à l’autre et se montrent à tour de rôle. Rien ne sert de les ajuster d’une main de maître, rien ne sert de souhaiter leur amitié féconde. Leur rôle n’est pas de s’évincer. Ainsi vous grandissez, en faisant en vous l’union de votre part d’homme incarné et votre part d’éclat de lumière. C’est là, dans l’axe équilibré entre ces deux aspects de vous-même, que vous touchez la nouvelle dimension qui vous permet de Sur-vivre (parmi les tourments terrestres). Alors votre personnalité de lumière irrigue votre être incarné dans la matière pour un enfantement heureux : celui de l'Homme nouveau en vous, reflet incarné du Père Créateur. »
- Comment et quand sont définis les buts spirituels que nous devons atteindre ? « Vous vivez tous une période plus ou moins longue d'errance dans le monde spirituel entre deux incarnations. Elle est relative à vos efforts de progresser. Quand votre degré d'évolution vous le permet, vous choisissez les grandes lignes de votre prochaine vie sur terre, avec l'approbation de vos guides. Un plan de vie s'établit, avec le choix de votre famille et son milieu social, vos lignes professionnelles, sentimentales, amicales, matérielles et financières, ainsi que votre santé.
Une partie des expériences de vie est déterminée à l'avance en fonction de vos acquis ou faiblesses des vies passées. Elles deviendront des évènements incontournables, mettant en avant les principales faiblesses à éliminer. Néanmoins, la majorité de vos expériences se révéleront par le libre choix de vos attitudes et comportement. »
« Au terme de leur existence, la plupart des gens ne regrettent pas leur mauvaises expériences, car ils ont tiré un enseignement de chacune d'elles. Tous les évènements de votre vie se produisent pour que l'être parfaitExtrait de la page : "Se reprendre" :
Chaque être est relié à son Soi intérieur, lequel est relié à Dieu.
Notre être profond
« En vous il y a deux personnages, l’un terrestre, collé à la matière, englué dans ses lourdeurs, et l’autre céleste, se laissant porter par la lumière. Au moment où vous concevez vos deux pôles, vous devenez avides d’unité et entamez votre quête de pureté. Mais c’est là aussi que les ennuis commencent ! Dans l’innocence de l’inconscience, vous trouviez une certaine tranquillité, en fonctionnant suivant les mêmes schémas depuis des générations, aptes à goûter les plaisirs de la chair.
Cependant, dès lors que votre conscience s’ouvre à une lucidité plus grande, votre soif de clarté se trouve confrontée aux ombres.
En proie à un désespoir existentiel, votre mental vous joue alors de tours monumentaux. Vous devenez la proie du chagrin, des doutes terribles, de la solitude et de votre impatience.
Nous sommes avec vous plus que jamais dans ces errances. Car alors nous reconnaissons en vous la flamme, le feu intérieur.
Alors commence un dialogue intérieur entre votre âme, qui nous a déjà reconnus, et nous qui sommes vos serviteurs, vos compagnons de route. À vos côtés, prêts à vous soutenir dans les passages difficiles, souriants à vos balbutiements d’enfant de lumière.
En votre for intérieur, ego de terre et âme de lumière se manifestent l’un à l’autre et se montrent à tour de rôle. Rien ne sert de les ajuster d’une main de maître, rien ne sert de souhaiter leur amitié féconde. Leur rôle n’est pas de s’évincer. Ainsi vous grandissez, en faisant en vous l’union de votre part d’homme incarné et votre part d’éclat de lumière. C’est là, dans l’axe équilibré entre ces deux aspects de vous-même, que vous touchez la nouvelle dimension qui vous permet de Sur-vivre (parmi les tourments terrestres). Alors votre personnalité de lumière irrigue votre être incarné dans la matière pour un enfantement heureux : celui de l'Homme nouveau en vous, reflet incarné du Père Créateur. »
« J’ai toujours pensé que ma cécité était un cadeau de Dieu. Là j’ai eu l’opportunité de penser au spirituel, vous comprenez ? Je ne me serais jamais intéressée à Dieu si j’avais eu mes yeux, j’en suis à peu près sûre. Ma vie aurait été différente. »
« Nous avons compris le pourquoi de la maladie de notre enfant, nécessaire pour notre évolution, pour nous remettre en question et bousculer nos vies. »
Un homme qui s'est suicidé s'exprime à travers la médium : « J’aimerais dire à tous ceux qui te liront, qu’il ne sert à rien d’échapper à la terre et à ses enseignements. Moi le rebelle, je sais maintenant qu’un contrat signé avec soi-même se vit jusqu’au bout et qu’il y a toujours des solutions. Derrière le plus grand désespoir, il y a toujours une solution qui ne peut apparaître que lorsque le vide est total. Lorsque nous abandonnons nos masques, quels qu’ils soient, tout devient alors possible.
La vie est souvent moins compliquée que ce que vous imaginez. Combien de fois entendons-nous les vôtres se plaindre en ces termes : “Que cette vie est triste, compliquée, invivable…” et tant d’autres mots semblables qui vous font croire à l’illusion du triste et du laid, du pesant et de l’obstacle infranchissable. »
« Lorsque l'univers te paraît s'assombrir, ce n'est pas parce que les portes se ferment devant toi, mais parce que ton regard se dérobe à la lumière. »
- Pourquoi suis-je si vite désespérée ? demande Lili
- Qu’est-ce qui te fait tomber dans le désespoir ?
- Plutôt les petites choses que les grandes.
- Là-dedans est la réponse.
Les petites choses regardent la « petite Lili ».
Toi, tu n’as pas à les regarder.
Laisse la petite Lili les régler !
« La pire des faiblesses est de laisser croître en soi le tumulte qui vient de l’extérieur. Votre tréfonds en toute circonstance ne doit jamais être atteint. »
Quand l'angoisse l'étreint, l'âme est mauvaise conseillère
« Je me suis enfermée dans une bulle de souffrance dont je ne percevais pas l’issue. Plus personne n’avait d’importance à mes yeux.
Tous mes efforts me semblaient vains, ce qui renforçait plus encore en moi ce sentiment d’incapacité et d’inutilité.
Et puis ce Dieu, comment le considérer comme bon et miséricordieux ? Qu’est-ce que j’avais fait pour mériter ça ?
Les questions tournaient dans ma tête sans trouver de réponse et chaque jour je m’enfonçais plus avant dans un désespoir sans issue.
Je me sentais comme un poids pesant sur tous.
Essayant de m’intéresser à ma famille, je me rendais compte que ce qu’ils vivaient ne me touchait plus.
Ni les amis, ni le temps, ni les distractions ni les marques d’amour, d’amitié ou d’affection ne pouvaient traverser cette coquille sombre dans laquelle je m’étais involontairement confectionné un abri infranchissable.
C’est ainsi qu’un jour dans “mon monde”, je conçus le projet de me suicider. »
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« Combien de personnes qui se suicident croient qu’elles ne sont pas aimées, qu’elles ne supporteront pas l’épreuve qui est la leur...
L’Enfer : Un monde de souffrance d’où personne ne peut l’extraire si elle-même n’entrouvre pas la porte. »
Un problème nous écrase. Nous n'y voyons aucune issue, mais avant d'abandonner le combat, demandons à Dieu
Peu importe le nom qu'on lui donne. Les prières qui Lui sont adressées sont d'abord et immédiatement entendues par les esprits aimants qui nous accompagnent. de nous préserver des mauvaises influences.
En effet, quand l'âme sombre, notre vibration s'affaisse ; nos défenses tombent. Et cela représente un danger insoupçonnable : les esprits du bas astral, à l'affût de tout mental défaillant, sont attirés par cette... dépression.
Pas forcément les plus mauvais, mais certainement les plus déprimés ; ceux qui inspirent les plus mauvais résolutions.
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Les esprits errants
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L'affaiblissement
Quand l'Inserm a classifié les manifestations de la dépression, de nombreux chercheurs ont été étonnés de leur similitude avec la réaction du cerveau à une attaque virale.
« Nous avons constaté que cet ensemble de symptômes, survenaient également lors d'un épisode inflammatoire. Ils correspondent à ce que nous appelons le 'comportement de maladie', une réponse normale face à un état infectieux (grippe, méningite...), avec un ralentissement psychomoteur, une grande fatigue, une diminution de l'intérêt pour l'environnement, un repliement sur soi-même... »
Dès lors, pourquoi ne pas essayer les anti-inflammatoires ?
« En 2019, des chercheurs de l'Université de Wuhan, en Chine, ont passé en revue 30 études regroupant 1610 patients qui portaient sur les effets des anti-inflammatoires sur les symptômes de la dépression. Leurs conclusions, publiées dans le Journal of neurology, montrent que l'aspirine ou l'ibuprofène était 2,5 fois plus efficace que les traitements antidépresseurs.
« D’autres anti-inflammatoires comme les statines (anti-cholestérol) et les acides gras oméga-3Le magnésium se trouve aussi dans les poissons gras (sardine, maquereau), les fruits oléagineux (noix du Brésil, amandes, cacahuètes, noisettes), les céréales (germe de blé, sarrasin, avoine, pain de mie complet...) combattent également la dépression.
« Le magnésium(mêmes sources que les acides gras oméga-3) est une alternative d’origine naturelle à la kétamine « Ce médicament, de découverte récente, est prescrit sous surveillance médicale. Il représente une voie inédite dans la recherche de nouvelles thérapeutiques contre la dépression. ». Ceci explique probablement pourquoi le déficit en magnésium augmente le risque de dépression ou d’anxiété. »
...et pourquoi on est porté sur le chocolat quand on n'est pas bien .
Côté pratique
Les anti-inflammatoires apporteraient une réponse à la dépression ??
Constatant par hasard que l'anti-inflammatoire que je prenais pour ma sciatique soulageait mes angoisses, j'ai été bien étonné d'en trouver confirmation dans les publications des instituts de recherche (Cf. ci-dessus).
Quand je suis oppressé, que chaque inspiration me cause une douleur dans la poitrine, j'ai remarqué que respirer de l'huile essentielle de Lavande AspicLa lavande est un anxiolytique ("traite les symptômes psychologiques et/ou somatiques de l’anxiété") me fait du bien.
Et si je sens venir une crise d'angoisse « Il ne faut pas lutter contre une crise de panique, elle passera après une dizaine de minutes. Respirer profondément.
La crise de panique (ou attaque de panique) s'accompagne de douleur thoracique. Comme elle donne le sentiment d'étouffer, de suffoquer littéralement, la réaction peut-être violente, ou du moins provoquer une agitation désordonnée. », alors je respire 2-3 fois un flacon d'huile essentielle de Gaulthérie"L’huile essentielle de gaulthérie contient 90% de salicylate de méthyle qui, absorbé par voie orale ou appliqué sur la peau, se transforme en acide salicylique, c’est-dire le même métabolite actif principal du médicament Aspirine.".
Mais ce qui m'aide surtout, notamment pour dormir, c'est l'aspirine. J'en prends parfois juste avant de me coucherSi vous la prenez effervescente, après les repas et par petites quantités (1/4 ou de temps à autre 1/2 gramme) vous pouvez en prendre sans problème sur le long terme.
Les mises en garde à propos des risques d'hémorragie et les maladies rares ne s'appliquent que si l'on en prend des doses élevées en usage prolongé (ayant eu un ulcère, on me l'a bien sûr déconseillé mais les doses indiquées ne m'ont jamais posé de problème d'estomac)., mais le plus souvent je laisse le verre à côté de moi, au cas où je me réveillerais au milieu de la nuit.
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Évacuez ce qui vous étouffe !par la marche, le cri, le rire...
Un conseil qui nous vient du Ciel
« Tu doutes de toi, la moindre critique te met en déroute ; et quand tu lèves les yeux, la vérité se dissimule derrière un amoncellement de nuages.
La vraie manière d’aborder les difficultés humaines est de s’en approcher avec une âme en paix ; les forces destructrices reculent devant la sérénité.
Si vous êtes enveloppés de vibrations troubles ou inquiètes, vous attirez des courants perturbateurs. Le calme appelle le calme. Sache donc maîtriser en toi les puérils énervements causés par les inquiétudes terrestres.
Une main qui tremble suscite des remous dans une eau immobile.
Sois calme, c’est la meilleure manière d’écarter le mal. Les forces émanant de cerveaux troubles, si elles ne se heurtent pas à des murailles de paix, font leur œuvre de destruction. Et l’obstination à penser aux points de friction les entretient. Il s’agit d’offrir une surface plane aux décharges nuisibles qui tentent de brouiller l’harmonie psychique. La vague se brise contre le rocher. »
La réaction naturelle à la douleur est de se replier sur soi, d'attendre que "ça passe". Mais ça ne passe pas.
Bien au contraire, car ainsi couvée, la blessure macère.
Et notre pire ennemi devient nous-mêmes car si quelqu'un nous rabâchait « Tu es nul » « Personne ne t'aime » « Tu n'arriveras jamais à... », on réagirait !
Mais ça vient de notre subconscient... alors on l'accepte, on le croit.
☞ Le repli sur soi
Tout passe, il faut savoir attendre
On s'enfonce parfois dans la tristesse pour comprendre une mélancolie qui ne fait que passer.
☞ Chercher à comprendre
« Nous pouvons refuser de nous élever sur la marche, qui est bien souvent celle de la souffrance ; nous pouvons refuser cet effort, mais alors il devra se faire plus tard, parfois même dans les sphères sombres de l’au-delà. »
Il n’y a pas d’abîmes si sombres,
il n’y a pas de falaises si hautes,
il n’y a pas d’égarements si tortueux
qui ne soient pas CHEMIN.
Que les frayeurs terribles ne vous égarent pas !
« Je dois supporter de voir mon seul et unique enfant, l’être que je chéris le plus au monde, habiter une chambre non chauffée, sans couverture, pratiquement sans rien à manger, alors qu'au dehors la température reste depuis des semaines à 20° en dessous de zéro (Son fils a essuyé une terrible désillusion et, de déception en déception, ne croit plus en la vie, refoule sa foi en Dieu). Je pourrais facilement lui trouver une chambre chauffée, lui donner à manger, lui procurer tout ce dont il a besoin. Mais je n’en n’ai pas le droit. Je sais qu’il est préférable pour lui de sauver son âme plutôt que son corps. Par amour pour lui je dois être cruelle ! Je dois le reconduire à Dieu.
Dans le noir je prie : « Sois avec lui, ô Dieu ! Fais qu’il Te retrouve et qu’il se retrouve. Permets lui de trouver le chemin qui conduit à Toi. Réveille-le, réveille-Toi en lui, mes forces n’y suffisant plus. Il est perdu et Tu connais le seul chemin qui peut le reconduire à Toi : il doit se sentir abandonné de tous et être convaincu que moi aussi je l’ai abandonné. Il doit être déçu par chacun, il doit perdre tout espoir. Tu sais, mon Dieu, que je n'ai pas d'alternative pour le sauver. »
Si alors que je traverse un désert pierreux et aride à perte de vue j'entraine mes proches dans ma mélancolie, je perds la terrible épreuve qui se présentait à moi pour me sonder.
☞ Un homme dépasse sa détresse « Comme tous les hommes, Jésus avait en lui deux consciences. L’une terrestre, le berçait d’illusions et lui disait : « Qui sait ? Peut-être éviterais-je le destin » ; l’autre, divine, répétait implacablement : « Le chemin de la victoire passe par la porte de l’angoisse ».